Châssis, confort et comportement
Dans le segment D, certaines berlines tentent de miser sur le dynamisme et la sportivité. Ce n’est pas le cas de la Superb qui accompagne son habitabilité de confort. Les sièges sont d’un accueil plutôt ferme, mais d’un grand confort à l’usage, tandis que le tarage des suspensions fait aussi la part belle au confort. Les irrégularités sont bien amorties, et la Superb laisse des occupants frais et dispos après un long voyage. Bien entendu, en contrepartie elle n’apprécie guère d’être brusquée. Les routes de montagne à vive allure, ce n’est pas pour elle avec un train avant un peu chargé et des suspensions trop souples.
Moteur et transmission
Nous avons eu le loisir de prendre en main la Superb TDI 140 ch avec boîte manuelle et la TDI 170 ch avec la boîte DSG. Aucune évolution de ce côté à l’occasion de la mise à niveau de la voiture. On retrouve deux TDI souples et disponibles dès les plus bas régimes. Souplesse donc ici aussi, et même un peu trop avec la boîte DSG.
Cette dernière gère parfaitement les changements de rapports, sans à-coups, mais a tendance à maintenir le moteur à des régimes particulièrement bas. Trop bas même et donc avec quelques vibrations. Il faut alors opter pour le mode sport ? Non, car ce dernier fait l’inverse, trop de hauts régimes pour un usage confortable. Manque un mode intermédiaire.
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Introduction Présentation générale Style extérieur Equipement Modularité/habitabilité |
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Parlons argent Conclusion |
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