Essai Opel Corsa 1.2 Turbo de 130 ch

Une Corsa moins Opel qu’auparavant

On reconnaît le logo, c’est une Opel. Mais le quidam se demande quel modèle. Il faut bien l’avouer, elle s’appelle toujours Corsa, mais en a perdu l’âme en termes de style. Elle devient moderne, plus sage aussi dans ses lignes, ce qui donne un méchant coup de vieux à celle qui la précède. Elle rentre finalement dans le rang, ce qu’on regrette.

Néanmoins elle paraît plus statutaire, moins cheap visuellement disons-le, et plus sérieuse. De ce point de vue-là, il s’agit plutôt d’une réussite. Pour marquer son identité, on trouve ainsi sur le pilier C un « aileron de requin » et un toit d’un coloris différent du reste de la carrosserie, comme l’Adam. Il est ainsi possible de la personnaliser. En outre, elle arbore des feux 100% à leds.

Commandes Opel, technologies PSA

À bord, Opel a joué plutôt la sécurité, avec un environnement rappelant les autres modèles, avec ce qu’il faut d’équipements pour lui permettre de se battre face à ses concurrentes. La présentation se voit égayée dans notre exemplaire d’essai par un bandeau plastique de couleur « alu » souligné par un liseré rouge vif. La plupart des commandes et boutons viennent d’Opel. Ici, pas d’atmosphère futuriste.

Pour les équipements, l’écran tactile notamment et les ADAS, le constructeur allemand s’est logiquement servi chez PSA. Toutefois cela créé parfois quelques incongruités ergonomiques, comme les boutons de ventilation semblant commander une climatisation bizone, alors qu’elle ne l’est pas. Rien de rédhibitoire dans tous les cas, il suffit de le savoir. On serait tenté de dire qu’elle a tout d’une grande, quand on coche toutes les options.

THP 130 et 1.2 Turbo, même combat

Cette nouvelle Corsa, une 208 déguisée ? Pas vraiment en fait. Sauf sur la question de la mécanique, où pour le coup on retrouve le THP 130 chevaux, qui prend ici juste le nom de 1.2 Turbo. Associé à la boite automatique EAT8, il ne se comporte pas différemment sous le capot de l’Allemande, par rapport à la Française. En mode Sport, le plus dynamique des trois disponibles (Normal, Eco), on a aussi droit à un son artificiel (inutile…) pour booster l’ambiance.

Ainsi on retrouve des sensations sur ce point peu ou prou équivalentes, avec de l’énergie dès les bas régimes et une allonge facilitant la vie lors des voyages au long cours. On loue une fois de plus la qualité de la douce transmission qui nous dispense des à-coups, sans se montrer trop fainéante. Les plus exigeants lui trouveront peut-être un léger manque de réactivité. Quant à la consommation, elle n’a pas excédé les 8 litres lors des phases de conduite déraisonnable.

Un châssis plus ferme

Côté châssis, on apprécie un comportement rigoureux, comme pour la 208. En fait, la Corsa apparaît même un peu plus ferme que la Peugeot. Ce qui pourrait l’ouvrir à plus de sportivité, mais il n’en est rien, la base étant déjà excellente. Les passages sur certaines parties de routes parfois dégradées des Alpilles, les lombaires s’en souviennent. Mais cette Corsa fait preuve d’une belle agilité, avec un équilibre neutralisant toute notion de sous ou survirage.

En revanche, la citadine d’Opel a eu manifestement droit à un calibrage de direction différent. Ici, pas de petit volant, mais un grand cerceau à la consistance plus douce que la Peugeot. Il en résulte un point milieu plus flou. Et cela transfigure tout de même beaucoup les sensations, notamment quand on augmente le rythme. Elle perd ainsi le combat du fun derrière le volant vis-à-vis d’une 208, mais reste largement en progrès par rapport à la génération précédente (de Corsa).

Dès 14 600 €

En termes de tarifs, la citadine au Blitz se montre particulièrement agressive, avec un premier prix de 14 600 € (hors promotions). Et le reste de la grille se montre à l’avenant, rendant ainsi finalement les équipements PSA plus accessibles. Une Corsa moderne, qui gagne énormément en agrément et en technologies, à un tarif Opel. Bon plan ? Assurément.

+ ON AIME
  •  Équipements
  • Agrément moteur
  • Tarifs
ON AIME MOINS
  •  Un peu ferme
  • Compteurs analogiques
  • Design moins distinctif qu’auparavant

Opel Corsa 1.2 Turbo
Prix (à partir de) 14 600 €
Prix du modèle essayé 22 100 €
Bonus / Malus 0  €
Moteur
Type et implantation 3 cylindres en ligne Turbo – Injection directe essence
Cylindrée (cm3) 1 199
Puissance (ch) 130
Couple (Nm) 230
Transmission
Roues motrices Avant
Boîte de vitesses Automatique à 8 rapports
Performances
Vitesse maximale (km/h) 208
0 à 100 km/h (s) 8,7
Consommation
Cycle mixte (l/100 km) 4,5
CO2 (g/km) 103
Dimensions
Longueur (m) 4,06
Largeur (m) 1,77
Hauteur (m) 1,42
Empattement (m) 2,54

Photos: Hamdi BEN LAGHA et leblogauto.com

(38 commentaires)

  1. Assez proche d’une Audi A1 niveau design mais 2X moins chère, elle va permettre à PSA de s’implanter largement en Allemagne et plus à l’est.

  2. compteur anachronique ; en quoi les remplacer par des écrans qui indiquent la vitesse une aiguille est mieux? si c’est juste pour dire qu’il y a un ecran de plus , où est l’intérêt!! ca me fait penser au critère déterminant des années 2000, le porte gobelet : plus il y en avait, meilleure etait la voiture !!!!

    1. L’avantage des écrans plutôt qu’un compteur analogique est qu’avec l’écran on peut à la fois afficher une aiguille, ou un compteur à chiffre et ainsi contenter les deux mondes.
      Perso j’ai du mal à revenir aux compteurs à aiguille, d’autant plus s’il est analogique et donc non « changeable » 😉

    2. Ça fait moins high-tech. Ça attirera moins les nouvelles générations qui ont grandi avec les écrans partout (smartphones, tablettes, écran plats dans chaque chambre…)

      1. De toutes manières, ils passent de moins en moins leur permis alors on s’en fout!
        Vaut peut-être mieux d’ailleurs, les deux ne faisant pas bon ménage.

    3. Parfaitement d’accord. Ça n’a rien d’un anachronisme et personnellement l’écran me fait fuir. D’ailleurs Peugeot le cache derrière le petit volant, un signe? Pas certain que plaider la bonne foi pris au radar (Mr l’agent, avec ce volant de nain et cet écran caché, le 1 de 180 était caché!) fonctionne, c’est donc une connerie.

  3. Enfin le plus important, un châssis plus ferme, donc pour qui ne veut pas du toucher de route à la française, je veux dire du roulis, un très bon choix. Extension de garantie obligatoire toutefois compte-tenu de la fiabilité aléatoire du moteur.

  4. 230 NM ! pour je pense 1200 kg: Une bonne relance – Voici une auto encore facile à bouger en ville, en côte également, et qui doit être agréable

    1. 230Nm, oui, mais tout dépend de la réactivité du turbo

      J’ai un moteur atmo 2.4L
      J’arrive au virage, lève le pied, freine. Le papillon se referme. L’injection coupe l’arrivée de carburant. Le moteur produit 0Nm et 0ch
      Puis je sors du virage, accélère à fond. Le moteur ouvre en grand le papillon. Le moteur aspire alors 2.4L l’air frais, et y injectera la quantité adéquate de carburant => le moteur produit 230Nm

      J’ai un moteur turbo 1.2L
      Gavé à 2 ATM, il aspire autant d’air qu’un atmo 2.4L, et produira les même puissance et couple
      J’arrive au virage, lève le pied, freine. Le papillon se referme. L’injection coupe l’arrivée de carburant. Le moteur produit 0Nm et 0ch…..et le turbo ralentit, puisqu’il n’y a pas de gaz d’échappement soufflant sur ses ailettes
      Puis je sors du virage, accélère à fond. Le moteur ouvre en grand le papillon. MAIS comme le turbo est au ralenti, alors le moteur aspirera 1.2L d’air frais, produira 2x moins de couple et de puissance que le gros 2.4L atmo. Il faudra attendre un certain temps avant que le turbo soit à un régime suffisant pour gaver l’air à 2ATM

      Avec 4 turbo séquentiels, dont un minuscule, BMW s’assure d’un minimum de lag
      Pour réduire encore plus ce lag, Audi y met un turbo électrique
      Mais sur ce 1.2 THP, il n’y a qu’un seul turbo. A pleine charge, il produira effectivement 230Nm….mais après un certain temps, le temps pour le turbo d’atteindre une vitesse de rotation suffisante. Une bonne relance oui, mais « pas tout de suite »

      1. pour l’accélération immédiate, Sur il faut compter sur l’aide du moteur électrique accouplé. ça arrive, ça se généralise. c’est je pense une bonne solution, PLUS à l’accélération immédiate- Les turbos sur les moteurs, je ne suis pas favorable personnellement. Et dans le tuning , je dirai même qu’il est très, trop facile d’avoir beaucoup de puissance grâce aux turbos. Ici , en France, Garrett équipe plusieurs marques. les turbos japonnais aussi sont à la pointe. Des turbos j’en ai sur quelques unes de mes diesels en 1.6 et en 1.9. J’ai aussi possédé 2.5 atmo et turbo jadis et sans catalyseur . On sait que même de séries, aujourd’hui car tout le monde s’observe, des constructeurs sont allés « fort » dans les pressions de série avec du 1.5 bar. et là, faut pas se bander les yeux, en usage polyvalent, avec des vidanges tirées bien loin, on a eu des embiellages qui ont « sonné » avant les 150 OOO km parcourus. Aucune critique sur le, les constructeurs. C’est un choix délibéré qui doit nécessiter maintenance: remplacement des coussinets en visite de maintenance. Le truc , c’est que le client écrit sur les forums qu’il n’est pas satisfait de son véhicule.(moulin à café qui jette de l’huile, coule les bielles…) Et ceci impacte l’image de pourtant un excellent constructeur que je ne citerai pas. En matière de pub que je fais , je préfère la bonne nominativement. C’est la politique qui force les cahiers des charges constructeurs en même temps que les exigences des consommateurs ( grosse auto, petit moteur, grande puissance: = antinomie )
        Un simple turbo sur un petit moteur peut aussi être accéléré dans la montée en régime, sans forcément lui imposer une surcharge d’air à comprimer. il s’agit en l’occurrence de provoquer « Une fuite au turbo » . on intervient alors sur le calibrage entre échappement du turbo et son clapet de décharge. J’ai fait depuis longtemps et je suis satisfait sur 3 turbos qui roulent sans problèmes. J’ai fait aussi des montages de turbos anciennes générations, puis des turbos japonnais aussi , non refroidis par eau , turbine plus petite autorisant ce que fait BM depuis pas mal de temps, plus de puissance immédiate. Garrett a servi de ban longtemps pour BMW. Tous les tests d’endurances, avec liquides parasites adjuvés aux fins de tests de résistances – Aux temps des 70/80/90 cv des turbos D, mes moteurs rivalisaient, rivalisent d’ailleurs toujours grâce au couple immédiat avec les 115 CV TDI des générations postérieures en accélérations. Les nouvelles générations D avec boitiers de gestion sont pour la parfaite combustion permanente, donc la meilleure puissance. c’est bon en matière de consommation faible et rejets.Pour ça je dis qu’il est dommage de trop critiquer les diesels. Tous ont tant oeuvré et ce n’est pas fini avec les camions – Ces dispositifs demandent toujours une maintenance de propreté des filtres, des injecteurs , et des visites diagnostics s’imposent . Le client est souvent insatisfait. il veut une usine à gaz Diesel, souvent, et que ça coûte Zéro . C’est difficile. Sur cette nouvelle corsa essence le mariage avec PSA est bon je pense, car les moteurs Opel que je connais depuis les ans 70 ont toujours eu de série des caractères je dirai « plaf » à cause des épures de distribution. il fallait un gros tuning pour les faire marcher. Peugeot a une parfaite maîtrise technologique de conception des moteurs . ( j’ai préparé 1.9 et 2.0 GTE Opel rallye injection dans les ans 77/81). La 204 Peugeot avait déjà un moteur très moderne dans les ans 60.
        En moteurs essence encore à présent, on peut toujours envisager un tuning pour de meilleures prestations sans forcément accroître des consommations. il faut avoir caprice et folie que très peu ont, j’avoue. A présent: c’est le tuning tap à l’oeil qui prévaut et en a même gommé la définition du terme Tuning en langage parlé. Quand je pense Tuning, c’est toujours pour moi, le moteur en miettes sur l’établi !et pas seulement une reprogrammation numérique.
        Il faut savoir qu’un moteur de série est brut de copeaux comme je dis souvent lorsqu’on le démonte. Des pièces en mouvement peuvent être allégées , remise aux poids, rééquilibrées, modifiées : OUI ! quelques unes remplacées pour certaines et là je mets un bémol aux catalogues d’accessoires proposés.un moteur: ce ne sont pas toutes les propositions ; c’est le meilleur choix par compromis .Principalement si on ne monte pas dans des régimes très élevés – Montage soigneux ( oui mieux que le robot ) choix des composants.La puissance est majoritairement dans la culasse ! Là est une grande partie du travail. Si on opte pas pour modification des temps de distribution, on peut parfaire les calages pour justement avancer les temps de réponse puissance à la pédale de droite. C’est du travail à l’empirique sur terrain – Volants moteurs, boites de vitesses, on peut aussi opérer …Un moteur monté neuf, serré va donner très vite sa puissance au ban, mais il a une raideur frein à cause des jeux de fonctionnement constructeur très serrés, raideur qu’il va souvent traîner 50 à 80 mille KM. Le meilleur rendu d’un moteur de série en général est très éphémère…et juste avant son démontage pour révision. Très très peu d’usagers entretiennent intensément, ouvrent, refont, optimisent . je répète, il faut ce caprice, cette folie qui m’a toujours habité.
        Des essayeurs de voitures identiques sauront révéler que telle voiture fonctionne bien…et l’autre: la même pourtant un peu moins bien ! On passe sur le ban à rouleaux 2 voitures identiques; on constate des différences …/..

  5. Du bon boulot pout une petite auto moderne (enfin !) et pad déplaisante.
    Perso entre une Fiesta et cette Corsa aucune hésitation !

      1. Sur beaucoup de sites étrangers, notamment anglais, la fiesta est le benchmark de la petite voiture homogène.
        Rapport qualité-prix, version ST est une superbe référence.
        Maintenant que la nouvelle Corsa soit meilleure, c’est également logique, cette dernière est nettement plus moderne.
        Mais parfois les « anciennes » procurent parfois plus de plaisir de conduire.
        Je pense que la Fiesta peu y prétende.

        1. La Fiesta n’est pas chère, c’est pour cela qu’elle se vend si bien… dans les pays anglo-saxons.
          Objectivement ses prestations sont en deçà de celles des françaises et des allemandes. Mais les acheteurs s’en fichent : c’est une seconde voiture pour eux.
          Rien à voir avec la France où la Clio est souvent par exemple la seule voiture du foyer : on devient donc logiquement plus exigeant.
          J’ai eu un Fiesta en location il n’y a pas longtemps : il suffi d’ouvrir le capot pour voir les économies de construction partout.

    1. La fiesta actuelle est un gros facelift de l’ ancienne. Et du coup elle est à la ramasse niveau habitabilité. Elle parait meme plus étriquée que l’ ancienne.

  6. Pour une première sous l’égide de PSA, et en si peu de temps, c’est une belle réussite et dans un créneau bien choisi, histoire de ne pas trop cannibaliser sa cousine.
    C’est d’ailleurs la force de PSA, comme de l’alliance Renault-Nissan, d’avoir des personnalités de marques bien distinctes afin de proposer, sur de mêmes bases des modèles très différents. Comme l’ont fait Ford et Fiat avec les Ka et 500 qui ont la même base technique.
    Après, c’est vrai que les compteurs font un peu vieillot, pas contre j’aime beaucoup l’intégration de l’écran tactile, comme sur toutes les Opel.

  7. Suspension « en bois » comme souvent sur les Opel.

    De toute façon, je suis saabiste donc cette marque va à l’encontre de ma religion 😛

    1. ça existe encore saab, je croyais que ç’était mort depuis des années. j’ai le souvenir de la 9000 , d’une laideur vwienne

    2. c’est marrant de dire cela @Yop, quand l’on sait que les dernières Saab était très Opel !
      Saab un nom à relancer par Tavares pour seconder DS et Alfa !? 😉

          1. Non, pas tout à fait ça @Commandant Tour.
            Saab comme Rolls-Royce, ce sont deux marques indépendantes.
            Le Saab Automobile, c’est les Chinois dans le nom NEVS avec le S pour Suède !?
            Et le Saab Aircraft, avec des coopérations avec British Aerospace et Boeing, qui est bien suédoise… avec le droit du nom Saab.

          2. J’imagine qu’un autre constructeur, pourrait acheter le nom « Saab » à Saab Aircraft sans demander l’avis de NEVS !?
            Pour faire des autos.

          3. Techniquement oui.
            Dans les faits saab n’ est pas vendeur.
            Ensuite ce ne serait que pour le nom. Pour le logo au griffon il faut en plus l’ accord de Scania.
            Et peut etre aussi pour le nom saab: je crois qu’ il fait l’ accord des deux.
            Je vois mal VW autoriser la résurrection d’ un concurrent.

  8. « On reconnaît le logo, c’est une Opel. Mais le quidam se demande quel modèle. » Ben vu le gabarit il n’y a pas de question à se poser ! c’est Corsa.

     » Il faut bien l’avouer, elle s’appelle toujours Corsa, mais en a perdu l’âme en termes de style. » Une corsa B ressemble t-elle à une corsa A? Sûrement pas !
    Et la D ressemble t’elle à la C? Sûrement pas non plus! Alors pourquoi la Corsa F devrait ressembler à la E? On est pas chez VW ici il n’y a pas d’esthétique figée dans les siècles. On parle d’une Mustang ou d’une Corsa?
    Elle à au contraire l’allure des Opel actuelles, et Peugeot n’a pas fait le pari de lui donner l’allure des Opel de demain. Comme ça le Quidam ne s’y perde pas en lui trouvant un air des Opel modernes qu’il croise dans la rue

    1. merci pour le lien . lu ! – bien complet – j’apprécie la position de conduite basse, un peu moins les ressentis de la route décrits – On peut féliciter les dessins pour la pénétration dans l’air, les masses contenues, les équipements tendances. La voiture semble jolie.

  9. Vraiment réussie cette Corsa même ses prix sont intéressants je me demande sincèrement à quoi ça sert d’acheter une 208

    1. Parce qu’on préfère le style de la 208 ? Que l’on préfère le i-Cockpit ? Ou que le réseau de Peugeot est bien plus développé que celui d’Opel ? Ou que l’on préfère l’originale à la copie ? 😉

      1. Le iCockpit (pour faire Pomme?) ne doit pas repousser que moi je pense et je me réjouis de voir des commandes manuelles (qui n’obligent pas à quitter la route des yeux) perdurer.

        Autre repoussoir: Les voitures qui semblent avoir pris un bourre-pif comme solution simple (meilleure répartition du choc à pas cher pour celui qui se fait ramasser) aux problème du choc piéton. Là on a un museau qui reste acéré et c’est très bien.

        Pour les iChoses, comme je dis à propos de la marque référence de l’écosystème captif: iMac, iPod, iPad, iPhone… prochain bidule: iDiot?

        De toutes manières, Peugeot qui vend ses doubles-zéros à tour de bras est passé de référence des liaisons au sol à fabricant de traîne couillons. La bascule a été assez progressive après les 306/206, allant de pair avec l’empattement du Lion en poids qui se cumule désormais au visuel.

        Ça n’est certes qu’un 1er critère de choix, mais s’il ne passe pas me concernant ça n’ira jamais plus loin.

        Des fois, les copies sont meilleures que les originaux. Pour le réseau, je préférerais voir des concessions Peugeot cumuler avec Opel qu’avec Hyundai ou Kia pour ma part. Je pense que cela viendra sous peu.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *