Même si son design est moins extrême que celui du concept Iosis X (qui était censé annoncer l’arrivée du Kuga), le Kuga ne fait pas dans la discrétion côté design. Ce n’est certainement pas le SUV qui ne veux pas être un SUV, ni le SUV de celui qui en veux un mais ne veux pas que ses voisins soient au courant Gros museau, grandes roues bien mises en valeur, arrière ramassé, le tout traité dans le ton du Kinetic Design inauguré par les Galaxy, S-Max et Mondeo, en plus expressif encore.
Le Kuga appartient à la famille Focus, dont il reprend la plateforme. Un bon départ, car il s’agit d’une base réputée pour la qualité de ses liaisons au sol, déjà éprouvées par les Focus, C-Max, Mazda3 et 5, Volvo S40, V50 et C70. On remarquera que le groupe Ford propose d’une part le Kuga sur plateforme Focus, d’autre part le Volvo XC60, qui pour sa part reprend celle des grosses Volvo V70 / S80, sachant que le Land Rover Freelander, ex-groupe Ford, disposait d’une troisième plateforme
Une seule motorisation est pour l’instant proposée : le 4 cylindres 2.0 TDCi de 136 ch bien connue, puisqu’il assure les beaux jours de plus d’une quinzaine de modèles dans le groupe, et plus encore si l’on compte les véhicules PSA qui utilisent le même moteur Sans vouloir jouer les devins, on peut penser que d’autres variantes arriveront sous ce capot sculptural dans les mois à venir, et on peut même rêver au 5 cylindres turbo d’origine Volvo comme porte drapeau, histoire de jouer à fond dans l’image 4×4 compact et sportif que veux se donner le Kuga. Il est uniquement proposé avec une boîte 6 manuelle, mais laisse quand même le choix entre 2 ou 4 roues motrices, avec 2.000 d’écart à la clé, et entre 2 versions Trend et Titanium séparées de 1.200.
Lire aussi :
– Ford Kuga : intoduction (1/4)
– Ford Kuga : sur la route (3/4)
A lire prochainement :
– Ford Kuga : Conclusion (4/4)
Big up pour ce tres grand monsieur
Il a reussi a faire ce qu’il aime meme dans les derniers moment de sa vie, bref une vie excepcielle, il va nous manquer.
Il va aussi enormément manquer a Sebastien Bourdais
Quel grand homme, quel courage, et comme dit dans l’article, il a vécu sa passion jusqu’aux derniers instants, comme Paul Frère
Chapeau bas pour un grand Monsieur
Terriblement émouvant, j’évoquais d’ailleurs également cette histoire hier sur mon blog…
Un grand du cinéma et du sport automobile qui va nous manquer tout comme Steve mac Queen hélas disparu il y a déjà longtemps.J’pense qu’un de ces week end ,je me ferais une séance perso avec Virages, l’Arnaqueur, Bullit et Le Mans..deux grands monsieurs de l’écran et de la piste qui laissent un vrai vide. Et ce ne sont pas Vin Diesel ou John Travolta et sa Breitling qui les remplaceront! Respect pour la vie, l’oeuvre, et le plaisir qu’il nous a donné. Chapeau bas, Monsieur Newman .
Juste pour l’anecdote, un point commun entre Steve Mac Queen et Paul Newman…le chronographe Tag-Heuer Monaco qu’ils portaient tous les deux depuis le debut des seventies. Une bien belle montre !
putain ça fait mal
Les deux Paul pourront toujours se tirer des bourres s’il existe des circuits là-haut….
Courage Paul.
Quel bonhomme… inoubliable grand Monsieur du cinéma mondial, passionné de voitures et de course auto, laissera un grand vide…
🙁 🙁 🙁
Un grand Monsieur… Respect. Puisse son aura inspirer ceux qui restent.
Jusqu’ou bout
C’est beau
Un GRAND MonsieuR
Effectivement Bravo monsieur Newman…et aussi quelle chance dans son (tardif) malheur! Si seulement tous les malades en fin de vie pouvaient faire quelque chose dont ils ont toujours rêvé de faire ou refaire!
malgrè l’age l’allure et la classe sont toujours presentes.courage mr newman.