Essai Audi A5 2.0 TDi 170: Place au cuir et à l’alcantara (2/3)

L’équipement quant à lui est assez généreux, la version 2.0 TDi étant dans le bas de gamme de l’A5, n’espérez pas les sièges chauffants et réglables électriquement, non pas de tout ça. Mais un équipement largement suffisant à satisfaire le commun des mortels, avec un GPS très intuitif et facile d’utilisation comprenant une estimation du temps du trajet « à peu près » correcte. Passons les détails comme le lecteur de CD, de cartes mémoires, le branchement pour I-Pod dans la boîte à gant, la prise 12V dans l’appuie coude central disposant aussi d’un branchement pour portable en bluetooth. La climatisation en position automatique fonctionne parfaitement et se me au boulot rapidement, donc vive les basses températures, tant que l’on est à l’intérieur !

Autre petite touche technologique intéressante, déjà bien connue mais qui devient de plus en plus un jouet indispensable au quotidien, l’allumage automatique des phares, qui est un gadget aussi utile que le régulateur de vitesse qui lui se montre d’une facilité d’utilisation enfantine.

Passons aux choses sérieuses, le tarif, dans les normes Audi lui aussi. Les premier prix pour une Audi A5 tournent autours de 33 290 euros pour une version Attraction 1.8 TFSI 160. Notre modèle, à savoir la 2.0 TDi 170 S-Line s’obtient contre la modique somme de 44 290 euros à comparer aux 39 150 euros d’une BMW coupé 320d de 177 chevaux qui est elle une propulsion ou au 45 900 demandés pour une Mercedes Classe E Coupé 250 CDI BlueEFFICIENCY de 204 chevaux (Seul diesel disponible). Voilà bien un des seuls regret de cette voiture, la traction avant.

Galerie Audi A5 2.0 TDi 170

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