Essai Abarth 500 : Conclusion (4/4)

L’Abarth 500 peut aussi compter sur son mode « Sport » désactivable pour convaincre. Il permet en effet de disposer d’une petite citadine fort agréable en utilisation normale qui peut se transformer d’une simple pression en une convaincante sportive prête à en découdre. Un vrai plus à mon sens puisque la majorité des conducteurs ne roulent pas constamment « le couteau entre les dents » et que la déconnexion du mode sport permet de réaliser de sérieuses économies de carburant. Reste qu’à 18.500 euros hors options, l’Abarth 500 s’affiche 2.800 euros plus chère qu’une Twingo RS et 2.450 euros de plus qu’une Suzuki Swift Sport. Une « voiture plaisir » qui peut néanmoins s’avérer un choix tout à fait rationnel de par sa polyvalence d’utilisation.

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