Le VE à trois roues : pas une voie à suivre
« Nous pensons qu’il reste des opportunités majeures pour un fabricant expérimenté de véhicules électriques plus petits et plus agiles avec un design accrocheur et des fonctionnalités personnalisées », écrit la PDG Susan E. Docherty dans un article de blog aux actionnaires de la société.
Elle ajoute qu’elle ne croit pas qu’un véhicule électrique à trois roues soit la voie à suivre, « compte tenu des défis allant de son exclusion des remises gouvernementales, de la difficulté pour les consommateurs d’assurer, de financer et d’entretenir un véhicule à trois roues , et des demandes constantes des clients pour plus de fonctionnalités.
Son nouveau projet de voiture électrique se dénomme à l’heure actuelle « Projet E4 ». La dirigeante n’a toutefois fourni aucun détail supplémentaire pour le moment.
Relation de fabrication avec le chinois Zongshen désormais rompue
Cette décision intervient après qu’EMV a rompu sa relation de fabrication de la Solo sur le territoire chinois avec Zongshen, affirmant qu’il ne s’agissait « pas d’un accord économiquement durable ».
Rappel volontaire
De plus, la start-up a émis un rappel volontaire pour le « Solo » en février, après avoir signalé que le véhicule décélérait parfois tout seul.
« Un voyant d’avertissement s’allume sur le tableau de bord et le conducteur subira une perte de puissance lorsque le véhicule décélérera comme s’il retirait son pied de la pédale d’accélérateur », indiquait alors la société. Le problème semble avoir été résolu.
Sources : emvauto