Dans le cadre de sa restructuration de ses filiales Opel/Vauxhall, un nouvel élément vient d’être confirmé par Nick Reilly, le patron par intérim de General Motors Europe. Tous les sites allemands seront préservés. Il s’agit d’une décision logique après l’annonce hier du maintien du complexe industriel de Bochum. Une décision doublement logique même puisque le site Opel de Rüsselseheim n’était jamais rentré dans ce plan et n’avait donc jamais été en danger. En revanche, quid du nombre d’emplois supprimés/maintenus ? Pas de données.
Après l’annonce concernant le site de Bochum, Nick Reilly a donc officiellement indiqué que les sites de Kaiserslautern, Rüsselseheim (siège social) et Eisenach n’allaient pas être sacrifiés sur l’autel de la restructuration. Une annonce qui ne surprend donc pas alors que ce même Nick Reilly avait clairement déjà avancé la possibilité que tous les sites européens soient finalement conservés.
Ce qui n’est en revanche pas encore divulgué, c’est le nombre d’emplois qui seront supprimés par site, en Allemagne et ailleurs, dans les prochains mois. GM Europe tablant sur la suppression de 9 000 postes, les complexes allemands ne devraient logiquement pas être épargnés fournissant à eux seuls la moitié des employés Opel/Vauxhall en Europe. On attendra alors le plan de restructuration officiellement dévoilé pour prendre la mesure des décisions prises par pays et par usine.
A lire également. L’usine Opel de Bochum maintenue et GM a remboursé son prêt à l’Allemagne.
A voir également. Galerie Opel GT Lexmaul.
Source : Automotive News.