Design : les voitures de l’année 2008

Comme lan dernier, voici un palmarès des designs les plus marquants de lannée. Première étape : les voitures de série.

Quatrième dauphine : Renault Mégane coupé

Il y a longtemps que léquipe de Patrick Le Quément navait fait une telle unanimité. Le coupé Mégane affiche des lignes dynamiques, qui en font une variante bien différenciée de la berline plus classique. A quelques détails près comme les déflecteurs aérodynamiques de lunette arrière mal intégrés, lensemble est des plus séduisants.

Troisième dauphine : Cadillac CTS coupé

Ce coupé est certainement le modèle le plus spectaculaire de la gamme Cadillac. Un juste prolongement des concepts présentés depuis plusieurs années par le style GM. Sa ligne spectaculaire à silhouette bicorps le différencie nettement de la concurrence, allemande en particulier. Avec en prime des petits ailerons typiquement américains, typiquement Cadillac.

Deuxième dauphine : Fisker Karma

La première berline de luxe sportive écolo se fait également remarquer par sa ligne. Son designer et créateur nest en effet autre que Henrik Fisker, auteur du style de lAston Martin DB9. La Karma pourra sans rougir faire face à sa concurrentes, quelles sappellent Rapide, Panamera, Quattroporte ou Estoque.

Première dauphine : Ken Okuyama KO7

Enfin une voiture dans lesprit de la Seven qui soit correctement dessinée. Le japonais Ken Okuyama, ancien de chez Pininfarina (où il a dessiné entre autres la Maserati Birdcage et les Ferrari Enzo et 612 Scaglietti) a décidé de fonder son studio de design, traitant à la fois dautomobile et de mobilier. Cette KO7 sera la première à être produite en série, avec un design original, typiquement japonais, avec un usage intelligent de matériaux.

LA voiture de lannée : Volkswagen Scirocco

Volkswagen nous avait mis leau à la bouche il y a deux ans, avec létude Iroc et son impressionnante calandre hexagonale. Cette année, le Scirocco arrive avec un style très proche à lexception de la face avant, qui perd de son agressivité. Un mal pour un bien puisque celle-ci y gagne en modernité et en discrétion, mettant en valeur le volume bas et bien assis de lauto.

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