Deux de ces anciens salariés, l’ancien directeur financier de RRG Luxembourg et le directeur général des services techniques de RRG, viennent de se constituer partie civile à Paris.
Les trois cadres sont accusés de malversations financières. Suite à une enquête de la DCRI (Direction Centrale du Renseignement Intérieur), de faux relevés bancaires ont été trouvés. Le groupe aurait pu se servir de telles preuves (sans forcément savoir qu’elles étaient fausses) pour justifier le licenciement des cadres.
Le juge Hervé Robert, qui s’était déjà occupé de la vraie fausse affaire d’espionnage, vient d’être missionné par le parquet de Paris pour enquêter sur cette nouvelle « affaire ».
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Source : France Info / Le Figaro
Photo : Renault