Plus que les constructeurs automobiles français en plein trou dair, il sagit de venir en aide aux sous-traitants qui traversent une crise grave.
On peut cependant sinquiéter de la requête du ministre M. Larcher quand son collègue de lindustrie, M.François Loos, affirmait, en juin dernier, que « la filière automobile nest pas un secteur en déclin ». Le recours au fond dajustement européen à la mondialisation résonne pourtant comme laveu du contraire
On peut raisonnablement souhaiter que la mutation inéluctable du secteur ne se fasse pas a deux vitesses. Dun côté les fonds daides à la reconversion pour les PME, de lautre des moyens importants consacrés à linnovation, via le réseau Oseo Anvar par exemple, réservés aux grands constructeurs.