Mardi 22 Avril – 3ème Etape :
Au programme du mardi, la boucle du lundi déjà connue des pilotes mais cette fois, ce sera à l’envers. Lors du premier passage, Carlos Sainz est victime d’une casse de commande de boîte de vitesse. Il perd ainsi 8 min au général alors que son co-équipier Giniel de Villiers s’impose:
« Je suis très heureux de notre victoire d’étape aujourd’hui. Mais c’est typique du rallye-raid: hier, nous n’avons pas eu de chance et avons perdu beaucoup de temps pour une petite chose, aujourd’hui, nous avons regagné du terrain. Cela prouve que tout reste possible jusqu’au bout. Tout le monde se bat et fait de son mieux. Jusqu’à l’arrivée samedi, il y a encore beaucoup de kilomètres sur lesquels se battre les comptes ne se feront que tout à la fin.«
Comme la veille, le grand gagnant de l’étape reste le français Stéphane Peterhansel qui se place 3ème et consolide un peu plus son avance au classement général provisoire. Fiable et rapide, le pilote Mitsubishi porte son capital « confort » à 2’08 » sur son poursuivant, Dieter Depping sur Volkswagen, lui même suivi de Luc Alphand (Mitsubishi).
Petite déception tout de même dans le clan japonais, l’abandon de Masuoka sur casse … d’une cheville de son copilote suite à un contact malheureux avec un véhicule concurrent. Dommage, c’est vraiment trop bête.
Mercredi 23 Avril – 4ème Etape :
Après la galère des étapes roumaines, la caravane est aujourd’hui repassée du côté Hongrois de la compétition et a retrouvé des pistes beaucoup plus roulantes.
150km chronométrés en deux spéciales. Celle du matin est remportée par de Villiers sur son Race Touareg et celle de l’après midi par Nasser Al Attiyah (BMW) après une longue lutte avec Carlos Sainz (VW). C’est d’ailleurs le pilote espagnol qui remporte la journée avec 6 petites secondes d’avance sur la BMW du Qatari.
Au général, Peterhansel conserve la tête du classement. Giniel de Villiers prend la seconde place et en conséquence, Dieter Depping rétrograde sur la 3ème marche du podium.
Source : CER2008
Crédits Photo : DPPI
A lire également :
La 6 verte, bleue et grise est une référence (ancien strip alpina « adapté ») à la célèbre 3.0 csl Gosser Beer.
Rien à dire, les allemandes c’est autre choses 🙂
YEAH 😀
Vive Alpina !
Petite question : on a vu une Gumper suralimentée de plus de 650 ch engagée, ici une Alpina de 525 ch … bref comment sont organisées les catégories ? Y-a-t-il des classe de cylindrée suralimenté ou non, ou bien est-ce la course à l’armenent (j’adore ça 🙂 ) ?
Désolé j’ai oublié de mensionner que ma question porte sur les 24 heures du Nürburgring …
Rhooo ca fait plaisir de voir le retour d’alpina 🙂
La livrée est superbe, et fait référence à d’autres modèles de la marque engagés en competitions il y a quelques années =)
Faut bien qu’ils fassent quelque chose car côté préparation, ils ne sont plus à la page ^^
question de point de vue. Ils font sans doute « juste » de la préparation utilisable au quotidien… et irréprochablement fiable !
Je t’invite a relire un récent article du magazine belge « Le Moniteur de l’Automobile » consacré à Alpina, ses inventions et ses projets.
Ben le hic c’est que ce n’est pas de la prépa. Alpina comme Ruf est un constructeur a part entiere et doit donc subir les examens du Tüv. Les majorations de puissance moteur ne sont pas super importantes mais au moins l’agrémennt au quotidien et la fiabilité surtout sont là, ce qui est loin d’etre le cas pour tout le monde !!