Red Bull et Infiniti sont partenaires. En prologue du Grand Prix de Chine, Sébastian Vettel a été invité (seul) à faire une opération pour la marque premium, à Shanghai.
Il a ainsi pris le volant d’un FX50, puis d’une G37. Il a également fait des tours de manège avec des V.I.P. (lesquels ont du être sérieusement secoués…)
Ensuite, il a eu droit à un point presse où il a évidemment dit qu’il était enchanté de conduire des Infiniti. D’ailleurs, il utilise un FX50 au quotidien.
Derrière, il y a un enjeu commercial. Infiniti (tout comme Lexus) a beaucoup de mal à exister sur le marché Chinois. Un marché du premium qui a pesé environ 500 000 voitures en 2010. Pour l’acheteur du Pays du milieu, c’est « Ao di », « Bao ma » (Béhème), « Ben chi » (Mercedes) ou rien!
Avec 25 concessionnaires, sa couverture du territoire est ridicule et jusqu’ici, ses opérations presse se sont passées dans un anonymat total.
Mais Infiniti veut percer sur les marchés d’Asie-Pacifique. Le constructeur a profité des Grand Prix d’Australie et de Malaisie pour lancer ses filiales locales.
Et à Shanghai, avec sa notoriété et son sourire aux lèvres, Vettel était là pour faire connaitre la marque…
A lire également: