M.Heitz, qui incarnait une ligne anti-automobiliste très dure (d’aucuns diront extrémiste), passe donc à la trappe juste avant les élections. Ses prises positions pas toujours totalement consensuelles (durcissement de la législation, augmentation du nombre des radars automatiques, refus d’un éventuel assouplissement des sanctions…) et son léger manque de pragmatisme ont donc peut-être joué contre lui : il ne s’agit pas de braquer les électeurs, ni de contredire un Premier Ministre qui aimerait les carresser dans le sens du poil tranquillement. Doit-on s’attendre à un peu moins de férocité de la part des forces de l’ordre dans les mois qui viennent?
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