Cérémonie musicale et en haute altitude hier du côté de Londres pour le lancement officiel de l’Opel Insignia. La présentation s’est déroulée derrière la mairie à Potter Fields avec quatre jeunes femmes violonistes introduisant le lâcher de la remplaçante de la Vectra d’une nacelle perchée dans une grue. Trois Insignia débarquent finalement, chacune avec son idendité « propre » : une Opel, une Holden et une Vauxhall. La suite ? Les discours du président de GM Europe puis du boss Bob Lutz.
A quelques encablures de la Tower Bridge, précisément du côté de Potter Fields, l’Opel Insignia est descendue du ciel hier lors de la présentation officielle de la nouvelle berline General Motors. Gros moyens donc et volonté semblable de frapper fort sur le marché des berlines haut de gamme. Entre la Vectra et l’Insignia, on change de registre avec une agréable montée en gamme pour le moins indubitable.
L’imposante calandre avant renforce l’aspect agressif de la berline alors que l’ensemble de la ligne reprend les codes stylistisques en vogue actuellement. Plus longue et plus haute que sa devancière, l’Insignia affiche une ligne générale plutôt réussie et vraiment très plaisante à l’oeil. L’habitacle bénéficie d’une instrumentation aérée même si l’on note une console centrale assez copieuse en boutons et quatre grosses molettes.
L’Insignia, quatre et cinq portes, repassera finalement par la case Mondial de l’automobile de Paris avant d’être commercialisée sur le sol français. Au menu, un vaste choix de motorisations, sept au total, réparties entre essence (1.6 115 ch, 1.8 140 ch, 2.0 T 220 ch et 2.8 V6 T de 260 ch) et diesel (2.0 CDTI 110, 130 et 160 ch). Ci-dessous la galerie Live de notre envoyé spécial sur place (merci Cédric !).
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