Brilliance se développe outre-Rhin

A l’évocation de la marque Brilliance, propriétaire d’une joint venture avec le géant allemand BMW, l’on se remémore dans les colonnes du blogauto l’état de la berline B6 suite au passage au révélateur crash-test mené par l’Adac en Allemagne. L’on peut aussi se souvenir des ambitions commerciales de la marque un tantinet utopiques. Aujourd’hui il n’est point question de la B6 mais de sa déclinaison plus petite alias BS2 qui vient d’y poser ses quatre roues.

Apès la BS4 et la B6, la BS2 débarque en Allemagne.Du coup le tandem Brilliance/BMW voit loin en espérant commercialiser environ 160 000 unités dans les cinq prochaines années aussi bien en Allemagne qu’Espagne ou France (via Asie Auto) tout en tablant déjà, à l’horizon 2018, sur une vente annuelle de 200 000 modèles sur le vieux continent.

Quant à la BS6 elle n’ pas attendu longtemps avant de retrouver les feux de la rampe. Trois mois après le test numéro un, les travaux de consolidation afin d’accroître la sécurité lui ont permis de recevoir la note de trois étoiles (pour revoir en image le bilan du catastrophique premier test, cliquez ici). A lire également. Brilliance BS6 au cras-test : aïe, aïe, aïe… Pékin 2008 Live : Brilliance Break BS4, Les plans (réalistes) de Brilliance et Un crash en Brilliance BS4.

Source : Automotive News Europe.

(5 commentaires)

  1. Je trouve que ça en devient presque un jeu, à chaque fois que je vois une automobile Chinoise (ce qui n’est pas ma tasse de thé…(humour)), je me demande de quelle modèle elle a pris inspiration (elle a copié(?!)).
    Pour celle qui figure en illustration je dirais un peu de Daihatsu, de Skoda Fabia,et quelques airs de Mini.
    Ce qui nous donne une « belle »….Coréeo-Tchèqui-Allemando-Chinoise (!)…..(rires)

  2. @Auto Man
    Oui, excatement simple erreur d’inentation, je n’est pas corrigé car je savais bien que quelqu’un allait me corriger, Daihatsu est évidemment Japonais.
    Par contre la Mini que j’évoquait est celle sous l’ére BMW, donc dans un certain sens je n’est pas tout à fait tord en avançant « l’origine » Allemande.

  3. Xième épisode de la saga Lifan.Lifan a besoin d’argent pour construire des autos qui n’existent que dans les salons et sur le papier…Reste que cette « marque ressemble plus à un panier percé qu’à un constructeur automobile !Et je suis surpris qu’un fond d’investissement américain s’engage dans l’affaire ,à moins que lui meme ne soit garanti et couvert par un fond souverain …chinois.C’est un peu l’histoire du dragon qui se mord la queue…En tous cas ,s’ils l’apprennent ,ce sont les retraités américans qui vont faire la tete..
    @Joest :je suis surpris que dans cet épisode de l’histoire de Lifan ,vous ne parliez pas d’une nouvelle implantation de la marque dans un coin du globe ,genre Ile de Jersey ou Cuba.

    Quant à moi ,je poursuis aussi mes projets pour ma belle et imaginaire auto ,demain ,je vais à la banque (au Luxembourg évidemment)pour chercher un chèque avec un chiffre et plein de zéros dérrière pour monter une usine au Costa Rica…et où sera produit une 12eme version de l’auto initiale.
    Hep ,z’auriez pas un p’tit chèque ,meme en blanc ,pour mon entreprise ,va y avoir du dividende à revendre dans…..25 ans.

    PS;Elle est moche cette Lifan 320 5 portes rose « barbe à papa »,trop haute sur pattes ,montée sur de trop petites et pales copies des jantes de Mini « Flame spoke ».Meme pas sur qu’elle est un moteur !

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