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Bowler, ce fut tout d’abord les Tomcat puis Wildcat. Des conversions du Defender principalement pour les courses dans le désert. Puis vint le fameux Nemesis, basé sur le Range Rover Sport. Son succès fut tel que Bowler se mit aussi à en produire des versions pour la route, EXR et EXR-S. A présent, le petit constructeur est revenu à ses premières amours, le Defender. Avec une préparation moins impressionnante, mais toujours axée sur la compétition, ainsi que la diffusion d’accessoires pour les propriétaires du vénérable 4×4 dans sa version d’origine.
Mais à la suite du décès de son fondateur Drew Bowler en 2016, les difficultés se sont amoncelées et l’entreprise s’est dernièrement retrouvée au bord de la faillite. Pour Bowler, ce sera une fin heureuse avec un sauvetage en bonne et due forme par JLR. Suite à ce rachat, Bowler deviendra donc la quatrième division de SVO (Special Vehicle Operations) au côtés de la préparation des véhicules sportifs du groupe, la personnalisation, et les véhicules historiques.
Notre avis, par leblogauto.com
Il y a parfois une fin heureuse. C’est le cas pour Bowler. Mieux, son intégration pourrait donner une nouvelle orientation à la préparation des modèles. Par exemple en relançant l’idée des versions plus optimisées encore pour le tout-terrain. Pour une gamme SVX en parallèle des sportives SVR.
l’AMG de JLR en quelque sorte.
La question en suspend, qui sauvera JLR… Parce qu’à priori ce ne sera pas Tata