Billy bricole

Je ne sais pas quel est le commentaire le plus approprié, donc je vous laisse juge:

  • Sacrilège ! Comment ce vieux débile ose-t-il souiller une telle oeuvre d’art mécanique, fruit exquis du mariage de la passion latine et de la rigueur germanique. Il sera condamné à écouter NRJ à l’arrière d’une Logan sans air conditionné pour l’éternité.
  • Rock and Roll ! Ce bon vieux Billy en appelle aux esprits des anciens dieux du binaire, Keith Moon en tête, qui savaient si bien noyer les Rolls dans les piscines ou les repeindre façon psychédélique. De toute manière c’est tout ce que mérite ce tas de tôle pour dealers. Mauve en plus.
  • Ignorant. Les sunroofs c’est tellement années 80. Et une lecture un peu plus attentive du catalogue Lamborghini aurait révélé à Bill l’existence d’un roadster, si il tenait tant à s’aérer les mèches, ce qui lui aurait évité de prendre le risque de tomber ou de se couper un doigt.
  • Pathétique. Quand on sort son premier album studio depuis 12 ans dans un monde qui vous a oublié et qui tourne très bien sans vous, on ferait n’importe quoi pour attirer l’attention des media. En plus un toit ça se répare, mettez donc la facture sur le compte de la maison de disques et en plus avec un peu de chance on pourra refourguer le morceau découpé sur EBay.

Il y a sûrement une explication logique à cette scène bizarre, si quelqu’un l’avait nous sommes preneurs.

Mise à jour: les comparses ont été identifiés. Il s’agit d’un certain Bam Margera et de sa bande, membre des pas fute fute Jackass, dans le cadre (j’aurais dû m’en douter) d’une émission de TV réalité sur MTV. Oh, mais voilà que s’ouvrent des perspectives pour utiliser la DB9 de Madame dans une production Endemol, non ?

Via Jalopnik

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