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Annulé en 2020 et 2021, le salon de Genève devrait revenir sur le devant de la scène automobile en 2022. Et les organisateurs ne restent pas les bras croisés malgré la situation tendue des salons automobiles. Un accord vient ainsi d’être conclu avec l’organisme Qatar Tourisme en vue d’organiser un nouvel événement.
Ce dernier est prévu pour l’automne, tous les deux ans, avec une première édition en 2022 ou 2023. A ces dates le salon entrera en concurrence avec les événements de Münich ou Paris et Détroit. Et dans une moindre mesure Tokyo ou Los Angeles.
Evoquer le déménagement du « salon de Francfort » à Münich n’est qu’une pirouette. Le nom officiel du salon est en effet IAA, sans évocation de la ville donc. Ce n’est pas le cas de Genève. L’appellation GIMS / Geneva International Motorshow est en effet à présent une marque. Le nouvel événement se nommera Qatar Geneva International Motor Show. Ce que l’on traduira par Salon Automobile International de Genève au Qatar…
Les émirats sont plutôt fort pour créer des villes en plein désert, alors créer un quartier « Genève » à Doha ne devrait pas être très compliqué. ^^
Ce qui est dommage, c’est de le mettre en concurrence avec d’autres salons, déjà qu’ils n’ont plus trop la côte. Quitte a prendre le nom de GIMS et le faire tous les deux ans, ils auraient pu garder la période de celui de Genève et le faire une année en Suisse et une année au Qatar.
Bah, on trouve les mêmes des deux côtés … À croire que les pays sont limitrophes…
Ça ne me choque pas, ce n’est qu’une marque finalement. Comme le Louvre à Lens… Tant que ça ne fait pas concurrence/remplace l’original et que l’esprit est conservé. En revanche c’est clair que faire ça en même temps que Paris ou Munich c’est dommage sauf s’ils ciblent une clientèle locale seulement
Non merci……
Alors avec un Paris Dakar qui passe qui ne passe plus par Paris et Dakar … Peuvent même développer le concept sur Mars … du salon.
Malgré mes nouvreux souvenirs du « Salon de l’auto » comme les locaux l’apellaient encore, cela ressemble plutôt à un chant du signe.
D’un point de vue strictement comptable, c’est excellent : on augmente l’envergure de la marque à moindres frais et on en parle !