Cétait la solution. Loin des noires fumées de linquiétant Peterbilt de Duel, les Diesel nouvelles générations, devenus sympathiques, allaient sauver le portefeuille et la planète. Mais voilà, avec un brut à $60, le Diesel ne semble plus prioritaire outre atlantique. Dans sa chute brutale, le baril a entraîné le « regular » et beaucoup moins le Gazole. En Nouvelle Angleterre par exemple, le gallon dessence dépasse de peu les 2,6$, alors que celui de Gasoil frise les 3,6$. Les meilleurs diesel du moment perdent de leur attrait.
On ne sétonne donc qua moitié du report du lancement des Diesel Honda et Subaru. On évoque des difficultés dhomologation, les normes Tier2 Bin 5 sont, il est vrai, plus sévèresquEuro6. Mais les constructeurs germaniques y parviennent. Non il semble surtout que les priorités et lurgence soient ailleurs pour les constructeurs japonais. La force du Yen et la baisse du pétrole pourraient reléguer au second plan les produits coûteux made in Japan, au profit de la production aux Etats Unis de véhicules simples et de taille moyenneà essence.
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