Ainsi, quand David Richards déclare à des journalistes « … [qu’] Aston Martin doit observer ce qui ce fait chez les concurrents, notamment du côté de l’Audi R8 et des marques Japonaises… » et d’ajouter que la marque anglaise possède encore « un fort potentiel de développement…« , moi, je ne demande qu’à le croire. Et si en plus, le président d’Aston Martin, M. Bez Ulrich, ajoute « [qu’] il y a certainement une place dans la gamme au-dessus de la Rapide pour une supercar… » je veux y croire.
Alors bien sûr, on est encore dans le domaine de l’improbable, mais après toutes les péripéties qu’à traversé la marque anglais depuis l’an dernier (ici, là, encore ici, re-là, par-là, là-bas et enfin ici), le domaine de l’improbable ne devrait pas faire trop peur aux nouveaux dirigeants.
Pour le moment, et quand David Richards évoque l’Audi R8, on est en droit de penser à une supercar avec un moteur central. Mais du côté d’Aston Martin, on rétorque qu’une voiture à moteur central ne fait pas partie du plan quinquennal qui court de 2005 à 2010. Mais comme le développement d’une voiture est encore long (surtout chez Aston, voyez la Rapide), on peut espérer pour le plan post-2010. Et la question du moteur d’être toujours débattue en hautes sphères…
Quoi qu’il en soit, l’objectif d’Aston Martin est de revenir sur le terrain des supercars, ça c’est sûr. Avec une voiture capable de concurrencer l’Audi R8 mais pourquoi une McLaren SLR, fort probable. Jusqu’à présent, la marque n’avait pas forcément les reins assez solides pour sortir de son créneau (moteur avant) sans prendre trop de risques. Aujourd’hui, la situation a changé, et depuis 5 ans, Aston Martin s’est bien rétablie. La marque est profitable, ce qui permet d’espérer que, peut être un jour, si Dieu le veut…
Source: autoweek.com
Nota: les illustrations proviennent de Motor Forecast et ne sont là que pour illustrer…