Même si 150 employés, affectés à des activités non encore dévoilées (on parle de GT1, du Mans ou même de DTM), continuent, c’est un sentiment de gâchis qui domine, et d’incrédulité : autant de gens, représentant pas moins de 32 nationalités, pour si peu de résultats ?
Il reste à espérer que les départs s’accompagneront de primes décentes, et que la plupart de ces employés hautement qualifiés retrouveront des positions correspondant à leurs compétences. L’arrivée des nouvelles écuries devrait permettre d’en recaser une partie même si la tendance générale est aux économies. On parle notamment de Lotus F1, où l’ancien Toyota Mike Gascoyne a pris ses fonctions.
Source : Reuters et Joe Saward
Crédit Image : Panasonic Toyota Racing
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