Si, sur le bitume ibérique, Sébastien LOEB a pu éventuellement laisser un espoir à son adversaire direct GRÖNHOLM sur une possible baisse de régime due à un matériel moins officiel que le sien, le déplacement corse a remis les choses à leur place.
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Si, sur le bitume ibérique, Sébastien LOEB a pu éventuellement laisser un espoir à son adversaire direct GRÖNHOLM sur une possible baisse de régime due à un matériel moins officiel que le sien, le déplacement corse a remis les choses à leur place.
Au terme de deux étapes, force est de constater que la machine à gagner alsacienne poursuit sans faille sa quête de succès. Avant les quatre dernières spéciales, l'homme à la XSARA inoxydable compte près de 40 secondes d'avance sur celui de la jeune FOCUS qui a fini par se faire une raison...
Le Finlandais n'y peut tout simplement rien et il est le premier à reconnaître qu'il perd systématiquement en vélocité à chaque fin de spéciale sur son redoutable rival. Reste que la FORD est bien née puisque HIRVONEN a réussi à signer avec elle un scratch.
Car Mirko est également en bagarre avec une autre CITROËN, celle d'un SORDO qui se forge une réputation de client. En fin de journée, il s'est approprié la troisième marche d'un podium qui n'est pas encore tout à fait assurée.
Cette troisième place, jusqu'à hier soir, était tenue par un excellent BENGUE qui a glissé cinquième sans jamais démériter avec sa 307. Il devra encore se battre demain pour tenir à distance un PONS qui lorgne sérieusement sur sa position.
Quant aux SUBARU, c'est l'anonymat absolu avec un SARRAZIN qui s'arrache pour maintenir son IMPREZA à la huitième place synonyme d'un point. Il a maille à partir avec GALLI à la 307 également équipée de PIRELLI. SOLBERG erre en onzième position devant ROVENPERÄ et derrière KOPECKY, meilleur, une fois encore, des FABIA.
C'est l'estonien AAVA qui a bord de sa SUZUKI SWIFT mène largement le JWRC. Il a mis 3'05 à la C2 de TIRABASSI qui a du mal à suivre...
Demain, LOEB partira pour remporter un troisième succès consécutif cette année, et pour son second en terre corse.
Si, sur le bitume ibérique, Sébastien LOEB a pu éventuellement laisser un espoir à son adversaire direct GRÖNHOLM sur une possible baisse de régime due à un matériel moins officiel que le sien, le déplacement corse a remis les choses à leur place.