Rien, sur le papier, ne présageait d'une victoire facile pour Sébastien Loeb lors de ce rallye d'Argentine. Ni sa position de départ handicapante sur des chemins de terre rapides, ni les envies de victoire de ses principaux adversaires bien décidés à rabattre le caquet à cet insolent coq français, et encore moins l'augure de faire tomber des records historiques ne permettaient à Sebastien Loeb et Daniel Elena d'avoir l'esprit serein. Si les premiers temps Scratch de Gronholm sur 307 Peugeot et Solberg sur Subaru ont laissé croire au scénario prévu, la pluie tombée en début de journée allait équilibrer les chances et permettre à Loeb de frapper son coup de massue habituel dès la quatrième spéciale. Il signait 6 meilleurs temps pour laisser Solberg à 31s suivi de Gronholm à 45s en fin de première journée.
Zapping Le Blogauto Essai du Mercedes GLC 220D
Rien, sur le papier, ne présageait d'une victoire facile pour Sébastien Loeb lors de ce rallye d'Argentine. Ni sa position de départ handicapante sur des chemins de terre rapides, ni les envies de victoire de ses principaux adversaires bien décidés à rabattre le caquet à cet insolent coq français, et encore moins l'augure de faire tomber des records historiques ne permettaient à Sebastien Loeb et Daniel Elena d'avoir l'esprit serein. Si les premiers temps Scratch de Gronholm sur 307 Peugeot et Solberg sur Subaru ont laissé croire au scénario prévu, la pluie tombée en début de journée allait équilibrer les chances et permettre à Loeb de frapper son coup de massue habituel dès la quatrième spéciale. Il signait 6 meilleurs temps pour laisser Solberg à 31s suivi de Gronholm à 45s en fin de première journée.
Le Samedi matin consacrait un Marcus Gronholm bien reveillé qui prenait l'ascendant sur la Subaru de Peter Solberg sans toutefois pouvoir revenir sur la Citroën Xsara d'un Loeb calquant sa course sur celle de ses adversaires. Le finlandais, optimiste de nature, nourrissait alors des ambitions de victoire que les premières salves de la Xsara de Loeb eurent tôt fait d'éteindre le Dimanche matin. Les positions restaient ainsi figées jusqu'au terme de l'épreuve. Alors que la mi-saison est à peine atteinte, le trinôme Loeb-Elena/Citroën Xsara/Michelin avec ses 7 couronnes de laurier 2005 vient de jeter aux oubliettes l'ancien record de victoires consécutives en Rallye avec 6 succès de rang et, surtout, il bat celui du nombre de victoires en une saison détenu déjà par Loeb en 2004 et Auriol (6 vict en 1992). Sachant que 7 rallyes sont encore au programme, on se demande où va s'arreter cette moisson extra-terrestre !? Au championnat, l'avance du français s'accroit et la lutte pour la seconde place s'annonce serrée entre Gronholm et Solberg du clan Pirelli et Gardemeister. A noter le retour plus que discret de Duval sur Xsara qui termine 7eme à plus de 5mn juste derrière un Markko Martin toujours aussi désabusé, la confirmation de la bonne forme des Mitsubishi et les progrès de Gardemeister sur sa Focus en mal de developpement.
Rien, sur le papier, ne présageait d'une victoire facile pour Sébastien Loeb lors de ce rallye d'Argentine. Ni sa position de départ handicapante sur des chemins de terre rapides, ni les envies de victoire de ses principaux adversaires bien décidés à rabattre le caquet à cet insolent coq français, et encore moins l'augure de faire tomber des records historiques ne permettaient à Sebastien Loeb et Daniel Elena d'avoir l'esprit serein. Si les premiers temps Scratch de Gronholm sur 307 Peugeot et Solberg sur Subaru ont laissé croire au scénario prévu, la pluie tombée en début de journée allait équilibrer les chances et permettre à Loeb de frapper son coup de massue habituel dès la quatrième spéciale. Il signait 6 meilleurs temps pour laisser Solberg à 31s suivi de Gronholm à 45s en fin de première journée.