Depuis quelques jours le dossier concernant la vente d'Opel semble s'accélérer très concrètement. Le dernier épisode marquant l'actualité concerne évidemment le dépôt des différents projets proposés par les trois repreneurs encore en course que sont Fiat, Magna et l'organisme internatinal RHJ. La balle est désormais dans le camp de General Motors, de GM Europe mais également des différents acteurs politiques allemands (nationaux et régionaux) qui auront leur mot à dire avant de débloquer éventuellement une enveloppe de soutien financier. Alors que certains décideurs politiques justement reconnaissaient l'intérêt de l'offre déposée par RHJ international, d'autres voix s'élèvent. En résumé ? Les Länder et Berlin semblent plus favorables à une reprise par Magna et ses partenaires. La stratégie du projet n'écarterait pas en outre General Motors.
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Depuis quelques jours le dossier concernant la vente d'Opel semble s'accélérer très concrètement. Le dernier épisode marquant l'actualité concerne évidemment le dépôt des différents projets proposés par les trois repreneurs encore en course que sont Fiat, Magna et l'organisme internatinal RHJ. La balle est désormais dans le camp de General Motors, de GM Europe mais également des différents acteurs politiques allemands (nationaux et régionaux) qui auront leur mot à dire avant de débloquer éventuellement une enveloppe de soutien financier. Alors que certains décideurs politiques justement reconnaissaient l'intérêt de l'offre déposée par RHJ international, d'autres voix s'élèvent. En résumé ? Les Länder et Berlin semblent plus favorables à une reprise par Magna et ses partenaires. La stratégie du projet n'écarterait pas en outre General Motors.
Evidemment les premiers commentaires des acteurs politiques allemands ont été tempéré par d'autres décisionnaires précisant que ces prises de positions n'engageaient que leurs auteurs. Autant préserver tous les candidats en effet. Reste que Magna représenterait tout simplement le repreneur offrant le plus de garanties dans le maintien des emplois.
Plus clairement, dans le plan de Fiat, la suppression de 10 000 emplois serait ainsi dans les cartons contre quelques milliers "seulement" chez Magna (lequel ne fermerait aucune usine en Belgique et Espagne par exemple), ceci ne concernant les complexes industriels Opel en Europe (la très large majorité des salariés européens d'Opel sont en Allemagne avec plus de 25 000 personnes sur 4 sites industriels). Autre point déterminant : l'aspect pécuniaire. Fiat demanderait plus de 7 milliards de garanties bancaires à l'Allemagne contre 5 milliards chez Magna (somme similaire avancée pour RHJ International).
Si le projet Magna venait à être retenu, il verrait alors le capital du nouvel Opel se répartir entre plusieurs partenaires. General Motors conserverait 35 %, 35 % seraient en possession de la banque Sberbank, 20 % pour Magna alors que les 10 % restants devraient bénéficier aux concessionnaires de la marque. Le processus de validation d'un projet devrait prendre plusieurs semaines. L'occasion donc de revenir encore sur l'avancée du dossier Opel.
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Pour résumer
Depuis quelques jours le dossier concernant la vente d'Opel semble s'accélérer très concrètement. Le dernier épisode marquant l'actualité concerne évidemment le dépôt des différents projets proposés par les trois repreneurs encore en course que sont Fiat, Magna et l'organisme internatinal RHJ. La balle est désormais dans le camp de General Motors, de GM Europe mais également des différents acteurs politiques allemands (nationaux et régionaux) qui auront leur mot à dire avant de débloquer éventuellement une enveloppe de soutien financier. Alors que certains décideurs politiques justement reconnaissaient l'intérêt de l'offre déposée par RHJ international, d'autres voix s'élèvent. En résumé ? Les Länder et Berlin semblent plus favorables à une reprise par Magna et ses partenaires. La stratégie du projet n'écarterait pas en outre General Motors.
