La McLaren F1 était aux années 1990 ce que représente au vingt-et-unième siècle la Bugatti Veyron : un monstre de puissance, de rapidité, de fantasmes et d'exclusivité. L'un des exemplaires de la supercar (de 1997) a été adjugé aux enchères il y a quelques jours lors d'une vente aux enchères organisée par la maison RM Auction à Londres.
La McLaren F1 était aux années 1990 ce que représente au vingt-et-unième siècle la Bugatti Veyron : un monstre de puissance, de rapidité, de fantasmes et d'exclusivité. L'un des exemplaires de la supercar (de 1997) a été adjugé aux enchères il y a quelques jours lors d'une vente aux enchères organisée par la maison RM Auction à Londres.
En ces temps de crise économique internationale, l'acheteur de cette McLaren F1 (434 kilomètres au compteur) n'a pas hésité à débourser près de 2.5 millions de livres, soit 3.2 millions d'euros, pour s'offrir la supercar soit pratiquement 1.1 million de livres supplémentaires par rapport au tarif maximal envisagé par la maison de vente aux enchères. Un investissement à moyen ou long terme diront certains.
L'enchère la plus importante a été enregistrée pour l'acquisition d'une Ferrari 250 GT California Spyder avec un chèque de plus de 3.8 millions d'euros. L'histoire ne précise pas si l'acheteur est un amoureux de la marque au cheval cabré ou un fan transi de Cameron Diaz. Oui, l'actrice américaine conduisait la belle italienne dans Charlie's Angel.
Source : RM Auctions via Autocar.
La McLaren F1 était aux années 1990 ce que représente au vingt-et-unième siècle la Bugatti Veyron : un monstre de puissance, de rapidité, de fantasmes et d'exclusivité. L'un des exemplaires de la supercar (de 1997) a été adjugé aux enchères il y a quelques jours lors d'une vente aux enchères organisée par la maison RM Auction à Londres.
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