Les plus jeunes me pardonneront ce titre réminiscent d'un tube des années 80 mais c'est la première chose qui me soit venu a l'esprit à la vue de la nouvelle Toyota bB présentée lundi a Tokyo. A vrai dire, ce n'est pas vraiment une totale nouveauté puisque qu'un concept car annonciateur était exposé au Salon de Tokyo en octobre. La surprise, c'est que Toyota n'a pas joué la sagesse et a gardé pour la version de série les fonctions les plus spectaculaires du concept. Le responsable me l'avait dit lors du salon, mais je ne l'avais pas cru.
Zapping Le Blogauto Essai de la Volkswagen ID3 (2023)
Les plus jeunes me pardonneront ce titre réminiscent d'un tube des années 80 mais c'est la première chose qui me soit venu a l'esprit à la vue de la nouvelle Toyota bB présentée lundi a Tokyo. A vrai dire, ce n'est pas vraiment une totale nouveauté puisque qu'un concept car annonciateur était exposé au Salon de Tokyo en octobre. La surprise, c'est que Toyota n'a pas joué la sagesse et a gardé pour la version de série les fonctions les plus spectaculaires du concept. Le responsable me l'avait dit lors du salon, mais je ne l'avais pas cru.
Jugez plutôt: 9 haut-parleurs dont un subwoofer dans la console centrale plus un système Surround avec DSP, un éclairage d'ambiance bleuté configurable réparti sur 11 emplacements différents, y compris le fond des porte-gobelets, qui pulse avec la musique, et la fonction qui tue, le rêve des Casanova du minispace, le mode "mattari" des sièges avants: l'accoudoir central se relève pour former banquette, le dossier s'étend bien entendu vers l'arrière, mais de plus l'assise du siège s'enfonce à la demande de 80 mm. Le dossier de presse s'en tient prudemment à "relaxation" pour décrire cette fonction, c'est un peu réducteur par rapport à tous les usages qu'on peut imaginer pour cette configuration...
L'extérieur n'est pas particulièrement sobre non plus, et les couleurs disponibles ne sont pas en reste : mauve sombre, mordoré, noir... Le moins qu'on puisse dire, c'est que Toyota ne cherche pas le consensus, ce qui ne les empêche pas de viser 5000 exemplaires vendus par mois. Et en plus ce ne sont pas les kits carrosserie qui manquent si d'aventure le client trouvait la bB trop timide.
Au niveau mécanique, la bB est disponible en deux ou quatre roues motrices avec au choix le 1,3 litre la géneration précedente ou bien un nouveau 1,5 litre VVT-i, la boîte étant une automatique a 4 rapports.
Le niveau de CO2, le taux de matériaux recyclables et le contrôle de la nocivité de l'atmosphère intérieure sont bien évidemment meilleurs que les normes japonaises en vigueur, comme c'est dorénavant le cas pour toutes les voitures qui sortent sur l'archipel nippon.
Les prix selon les configurations s'échelonnent de 1.344.000 yens (9600 euros) à 1.848.000 yens (13600 euros).
Toyota a bien étudié ses clients et pris la température de la rue, comme on dit. De là à mettre tout ça en série, il y a un grand pas que le géant japonais n'a pas hésité à franchir. L'avenir dira si il avait raison, mais on peut saluer l'audace du geste.
Les plus jeunes me pardonneront ce titre réminiscent d'un tube des années 80 mais c'est la première chose qui me soit venu a l'esprit à la vue de la nouvelle Toyota bB présentée lundi a Tokyo. A vrai dire, ce n'est pas vraiment une totale nouveauté puisque qu'un concept car annonciateur était exposé au Salon de Tokyo en octobre. La surprise, c'est que Toyota n'a pas joué la sagesse et a gardé pour la version de série les fonctions les plus spectaculaires du concept. Le responsable me l'avait dit lors du salon, mais je ne l'avais pas cru.