Faute de pièces, Toyota a du interrompre la production au Venezuela, en 2014. Puis elle a repris, avant de s'arrêter de nouveau début 2016. Après 6 mois d'inactivité, le site de Cumanà reprend vie. Pour combien de temps ?Ce n'est pas facile de produire des voitures au Venezuela. Les usines font essentiellement de l'assemblage, elle doivent donc importer la plupart des équipements. Mais l'état impose un stricte contrôle du change et des importations en devises. Surtout, le pays traverse une grave crise économique et politique.
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Faute de pièces, Toyota a du interrompre la production au Venezuela, en 2014. Puis elle a repris, avant de s'arrêter de nouveau début 2016. Après 6 mois d'inactivité, le site de Cumanà reprend vie. Pour combien de temps ?Ce n'est pas facile de produire des voitures au Venezuela. Les usines font essentiellement de l'assemblage, elle doivent donc importer la plupart des équipements. Mais l'état impose un stricte contrôle du change et des importations en devises. Surtout, le pays traverse une grave crise économique et politique.
Pour autant, il reste l'un des poids-lourd de l'Amérique Centrale. Des constructeurs comme Toyota font donc le pari que la situation n'est que provisoire. Tôt ou tard, ça va repartir et il faudra être prêt... Cumanà va donc de nouveau assembler des Corolla, Fortuner et Hilux. L'objectif est de les exporter dans les pays limitrophes, afin de compenser les achats de pièces.
Crédit photo : Toyota de Venezuela
Source :
Reuters
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Faute de pièces, Toyota a du interrompre la production au Venezuela, en 2014. Puis elle a repris, avant de s'arrêter de nouveau début 2016. Après 6 mois d'inactivité, le site de Cumanà reprend vie. Pour combien de temps ?Ce n'est pas facile de produire des voitures au Venezuela. Les usines font essentiellement de l'assemblage, elle doivent donc importer la plupart des équipements. Mais l'état impose un stricte contrôle du change et des importations en devises. Surtout, le pays traverse une grave crise économique et politique.