Toyota et la FIA crashent des F1 virtuelles pour la bonne cause
Ce squelette casqué et virtuel au volant de sa monoplace fait une image étrange et dérangeante, mais sa mission est noble. Toyota a prêté ses gros ordinateurs et a mis au point, en collaboration avec la FIA, un modèle numérique complexe de simulation pour étudier les phénomènes et interactions entre le corps du pilote et la monoplace lors de crashs à très haute vitesse comme on peut malheureusement en observer de temps en temps en F1 ou en Indycar.
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Les résultats de l'étude, en cours de dépouillement, donnent en particulier des enseignements sur les dégâts causés par la violente décélération sur la colonne vertébrale liés à la position particulière des pilotes de monoplace. Les observations permises par ces crash-tests virtuels ne peuvent pas être obtenues avec les habituels mannequins qui pour une fois ont droit à un peu de répit avant de reprendre le volant (dans la tronche) pour le compte de l'équivalent japonais de l'EuroNCap. On n'arrête pas le progrès.
Ce squelette casqué et virtuel au volant de sa monoplace fait une image étrange et dérangeante, mais sa mission est noble. Toyota a prêté ses gros ordinateurs et a mis au point, en collaboration avec la FIA, un modèle numérique complexe de simulation pour étudier les phénomènes et interactions entre le corps du pilote et la monoplace lors de crashs à très haute vitesse comme on peut malheureusement en observer de temps en temps en F1 ou en Indycar.