par Pierre-Laurent Ribault

Tokyo 2005 live : Ferrari GG50 de plus près

Le stand de Bridgestone avait un petit air d'Italie, plein de messieurs tirés à quatre épingles arborant coiffure élaborée, teint artistiquement halé et chaussures de prix lancés dans des conversations animées dans la langue de Dante, oublieux des hôtesses japonaises qui formaient l'arrière-plan. La raison en était la présence de la Ferrari GG-50 créée par Giorgetto Giugiaro, que Patrick vous a présenté hier avec un enthousiasme très mesuré, que je vais devoir contredire. La voiture "en chair et en os" est beaucoup plus réussie que les photos ne le laissent paraître. Si l'on peut émettre des réserves sur la ligne générale, et encore, le traitement dans le détail rend la voiture plus désirable à mon avis que la Ferrari 612. Je suis particulièrement fan de l'avant, de la courbe des vitres latérales et du pavillon, et je succombe totalement au charme de l'intérieur somptueux. On a même envie de se noyer dans le cuir crème aux places arrières, je ne plaisante pas. J'ai difficilement résisté à l'impulsion de me jeter aux pieds du Maestro qui était du voyage avec sa création, par crainte d'être expulsé et de ne pouvoir continuer à couvrir l'événement. Mais il était moins une.

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Le stand de Bridgestone avait un petit air d'Italie, plein de messieurs tirés à quatre épingles arborant coiffure élaborée, teint artistiquement halé et chaussures de prix lancés dans des conversations animées dans la langue de Dante, oublieux des hôtesses japonaises qui formaient l'arrière-plan. La raison en était la présence de la Ferrari GG-50 créée par Giorgetto Giugiaro, que Patrick vous a présenté hier avec un enthousiasme très mesuré, que je vais devoir contredire. La voiture "en chair et en os" est beaucoup plus réussie que les photos ne le laissent paraître. Si l'on peut émettre des réserves sur la ligne générale, et encore, le traitement dans le détail rend la voiture plus désirable à mon avis que la Ferrari 612. Je suis particulièrement fan de l'avant, de la courbe des vitres latérales et du pavillon, et je succombe totalement au charme de l'intérieur somptueux. On a même envie de se noyer dans le cuir crème aux places arrières, je ne plaisante pas. J'ai difficilement résisté à l'impulsion de me jeter aux pieds du Maestro qui était du voyage avec sa création, par crainte d'être expulsé et de ne pouvoir continuer à couvrir l'événement. Mais il était moins une.

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Le stand de Bridgestone avait un petit air d'Italie, plein de messieurs tirés à quatre épingles arborant coiffure élaborée, teint artistiquement halé et chaussures de prix lancés dans des conversations animées dans la langue de Dante, oublieux des hôtesses japonaises qui formaient l'arrière-plan. La raison en était la présence de la Ferrari GG-50 créée par Giorgetto Giugiaro, que Patrick vous a présenté hier avec un enthousiasme très mesuré, que je vais devoir contredire. La voiture "en chair et en os" est beaucoup plus réussie que les photos ne le laissent paraître. Si l'on peut émettre des réserves sur la ligne générale, et encore, le traitement dans le détail rend la voiture plus désirable à mon avis que la Ferrari 612. Je suis particulièrement fan de l'avant, de la courbe des vitres latérales et du pavillon, et je succombe totalement au charme de l'intérieur somptueux. On a même envie de se noyer dans le cuir crème aux places arrières, je ne plaisante pas. J'ai difficilement résisté à l'impulsion de me jeter aux pieds du Maestro qui était du voyage avec sa création, par crainte d'être expulsé et de ne pouvoir continuer à couvrir l'événement. Mais il était moins une.

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