Tata réduit la voilure de la production de Land Rover
Tata ou pas, impossible d'enrayer la spirale actuelle entraînant des baisses successives de ventes de SUVS et 4X4, notamment sur le sol américain, comme le subit de plein fouet actuellement Hummer. En constatant une baisse des commercialisations (226 000 véhicules en 2007 à -3%) des Land Rover, Tata réajuste et réduit la production.
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Tata ou pas, impossible d'enrayer la spirale actuelle entraînant des baisses successives de ventes de SUVS et 4X4, notamment sur le sol américain, comme le subit de plein fouet actuellement Hummer. En constatant une baisse des commercialisations (226 000 véhicules en 2007 à -3%) des Land Rover, Tata réajuste et réduit la production.
Les chiffres le prouvent et le confirment depuis plusieurs mois désormais. Le segment des 4x4 et des SUVs peine sur le marché américain et ce ne sont pas (encore) les bons chiffres commerciaux dans certains pays émergents, exemple la Chine et à un degré moindre la Russie, qui suffisent à rétablir l'équilibre parfait.
Land Rover a par exemple enregistré en juillet 2008 un recul de 31% de ses ventes par rapport en 2007 aux USA. 300 employés du site de production de Solihull (Land Rover) vont donc déménager pour rallier l'usine de Castle Broomwich.
Le flou le plus complet entourant une hypothétique reprise des ventes sur ce segment contraint donc Tata à abattre la carte de la prudence. Surtout quand on sait que la majorité des bénéfices du binôme Jaguar/Land Rover sont à ranger au crédit de ce dernier (421 millions de dollars sur 650 millions environ).
Tata ou pas, impossible d'enrayer la spirale actuelle entraînant des baisses successives de ventes de SUVS et 4X4, notamment sur le sol américain, comme le subit de plein fouet actuellement Hummer. En constatant une baisse des commercialisations (226 000 véhicules en 2007 à -3%) des Land Rover, Tata réajuste et réduit la production.