Ssangyong, le plus petits des constructeurs Coréens, était au bord de la faillite voici quelques jours, dans l'attente d'une aide financière. SAIC, majoritaire, a finalement accepté de mettre de l'argent sur la table pour débloquer la situation.
Ssangyong, le plus petits des constructeurs Coréens, était au bord de la faillite voici quelques jours, dans l'attente d'une aide financière. SAIC, majoritaire, a finalement accepté de mettre de l'argent sur la table pour débloquer la situation.
Depuis quelques semaines, la situation financière du constructeur était littéralement bloquée, avec d'une part la Korea Development Bank qui refusait d'apporter son aide tant que SAIC ne prouvait pas sa bonne volonté en apportant les premiers fonds. Logique, prendre les bénéfices quand tout va bien, mais aussi aider quand ça va mal, ne serait-ce pas le véritable rôle d'un actionnaire s'il n'est pas un simple spéculateur... Mais de l'autre côté de la frontière, SAIC, propriétaire des lieux à hauteur de 51%, soumettait son aide à un plan social éliminant la main d'uvre selon lui excessive de Ssangyong.
Les syndicats craignant la suppression de 3000 postes sur 5200 dans l'usine du constructeur avaient d'ailleurs provoqué une grève de deux semaines. Cette grève a pris fin hier, et SAIC a apporté un premier versement de 45 millions de dollars à Ssangyong, associé à une commande de 2000 véhicules, le tout ouvrant la porte à des négociations plus larges.
Source : Automotive News
Lire aussi : Ssangyong en apnée
Ssangyong, le plus petits des constructeurs Coréens, était au bord de la faillite voici quelques jours, dans l'attente d'une aide financière. SAIC, majoritaire, a finalement accepté de mettre de l'argent sur la table pour débloquer la situation.
Retrouvez tous les soirs une sélection d'articles dans votre boite mail.
