L'entreprise Think, spécialisée dans la recherche, le développement et la production de sa citadine électrique, semblait dans la mauvaise passe avant les fêtes de fin d'année dernière. En manque de liquidités, Think ne pouvait plus honorer le versement des salaires de ses salariés ni régler ses fournisseurs. La société prise à la gorge en appelait alors à un soutien urgent de la part du gouvernement norvégien. L'un des partenaires vient de répondre à la demande.
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L'entreprise Think, spécialisée dans la recherche, le développement et la production de sa citadine électrique, semblait dans la mauvaise passe avant les fêtes de fin d'année dernière. En manque de liquidités, Think ne pouvait plus honorer le versement des salaires de ses salariés ni régler ses fournisseurs. La société prise à la gorge en appelait alors à un soutien urgent de la part du gouvernement norvégien. L'un des partenaires vient de répondre à la demande.
Petite bouffée d'oxygène permettant à Think de survivre quelques mois supplémentaires ? Les prochaines semaines confirmeront ou infirmeront cette hypothèse. Le gouvernement norvégien n'a pour l'heure pas répondu aux attentes. En revanche, la firme Ener1 (fournisseur de batteries à Think), vient de débloquer une ligne de crédit de 40 millions de couronnes soit environ 5,7 millions d'euros.
A très court terme, l'enveloppe sauve donc Think de l'asphyxie. A moyen terme la firme norvégienne aura obligation de dénicher d'autres investisseurs et partenaires privés afin de poursuivre l'aventure électrique."Nous allons devoir nous consacrer à la recherche active de financements durables. Nous sommes confiants et avons d'ores et déjà des contacts assez sérieux", avance Richard Canny, directeur général de Think. La surchauffe immédiate a été évitée. Espérons alors l'impossibilité de voir Think griller définitivement.
L'entreprise Think, spécialisée dans la recherche, le développement et la production de sa citadine électrique, semblait dans la mauvaise passe avant les fêtes de fin d'année dernière. En manque de liquidités, Think ne pouvait plus honorer le versement des salaires de ses salariés ni régler ses fournisseurs. La société prise à la gorge en appelait alors à un soutien urgent de la part du gouvernement norvégien. L'un des partenaires vient de répondre à la demande.