A Shanghai, il y a bien sur Peugeot, Renault et Citroën. La nouveauté, c'est qu'un quatrième Français a fait le déplacement: PGO.L'artisan d'Alès est présent car son actionnaire Koweïtien a des contacts avec des entreprises chinoises. Il s'agit donc de tâter le terrain, rencontrer des distributeurs potentiels et d'éventuels acheteurs. Pour l'instant, ils n'ont pas encore d'objectifs de ventes ou même de calendrier précis. Le marché chinois de la voiture de sport est une sous-niche, sur laquelle de nombreux constructeurs sont déjà présent. De toute façon, à l'échelle de PGO, le simple fait d'y exporter une dizaine de voitures par an ferait leur bonheur.
Zapping Le Blogauto Au volant avec Chat GPT
A Shanghai, il y a bien sur Peugeot, Renault et Citroën. La nouveauté, c'est qu'un quatrième Français a fait le déplacement: PGO.L'artisan d'Alès est présent car son actionnaire Koweïtien a des contacts avec des entreprises chinoises. Il s'agit donc de tâter le terrain, rencontrer des distributeurs potentiels et d'éventuels acheteurs. Pour l'instant, ils n'ont pas encore d'objectifs de ventes ou même de calendrier précis. Le marché chinois de la voiture de sport est une sous-niche, sur laquelle de nombreux constructeurs sont déjà présent. De toute façon, à l'échelle de PGO, le simple fait d'y exporter une dizaine de voitures par an ferait leur bonheur.
Dans ses valises, PGO est venu avec une Cévennes "sauce chinoise", la "Shui She" (un serpent d'eau.) Les principales modifications sont les jantes, la sellerie cuir et la boite automatique. Rappellons qu'elle dispose du 1,6l turbo 184ch de la MINI.
L'idée de cet exemplaire spécial est de montrer qu'il peut personnaliser ses voitures et les adapter aux goûts de chacun. Sachant qu'a priori, les riches Chinois aiment plutôt le clinquant...
On devrait bientôt en savoir plus sur PGO et sa stratégie chinoise.
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Pour résumer
A Shanghai, il y a bien sur Peugeot, Renault et Citroën. La nouveauté, c'est qu'un quatrième Français a fait le déplacement: PGO.L'artisan d'Alès est présent car son actionnaire Koweïtien a des contacts avec des entreprises chinoises. Il s'agit donc de tâter le terrain, rencontrer des distributeurs potentiels et d'éventuels acheteurs. Pour l'instant, ils n'ont pas encore d'objectifs de ventes ou même de calendrier précis. Le marché chinois de la voiture de sport est une sous-niche, sur laquelle de nombreux constructeurs sont déjà présent. De toute façon, à l'échelle de PGO, le simple fait d'y exporter une dizaine de voitures par an ferait leur bonheur.