Non, tout ne réussi pas de façon insolente au groupe Volkswagen. Seat reste encore l'épine plantée dans le pied du colosse, et doit selon les termes de son propre patron doubler ses ventes pour être viable. Les ventes de la Leon font ainsi figure de juge de paix...
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Non, tout ne réussi pas de façon insolente au groupe Volkswagen. Seat reste encore l'épine plantée dans le pied du colosse, et doit selon les termes de son propre patron doubler ses ventes pour être viable. Les ventes de la Leon font ainsi figure de juge de paix...
Depuis des années déjà, Seat peine à faire croitre ses ventes et à rentabiliser ses investissements et modèles. Le groupe Volkswagen a menacé, mais a accordé un délai pour redresser la pente en accordant le développement de plusieurs nouveaux modèles, dont la Leon et un probable crossover. La Leon doit faire la preuve que Seat est capable de gagner de l'argent, première étape avant d'aller réclamer de nouveaux modèles à la direction de Wolfsburg.
A long terme, pour sécuriser son avenir James Muir, patron de la marque, estime que Seat doit doubler ses ventes, et ainsi passer le cap des 600.000 unités annuelles.
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Non, tout ne réussi pas de façon insolente au groupe Volkswagen. Seat reste encore l'épine plantée dans le pied du colosse, et doit selon les termes de son propre patron doubler ses ventes pour être viable. Les ventes de la Leon font ainsi figure de juge de paix...