Jusqu'ici on la connaissait dans sa livrée d'un blanc immaculé. La revoici en Suisse toute de rouge habillée. Coup de peinture ou hypothétique deuxième unité de pré-production ? Mystère et boule de gomme. Tout comme du reste l'avenir concret de cette supersportive ibérique à court terme.
Jusqu'ici on la connaissait dans sa livrée d'un blanc immaculé. La revoici en Suisse toute de rouge habillée. Coup de peinture ou hypothétique deuxième unité de pré-production ? Mystère et boule de gomme. Tout comme du reste l'avenir concret de cette supersportive ibérique à court terme.
Pour mémoire la GTA Spano, 1 350 kg, embarque un moteur monté en position arrière, un V10 délivrant la puissance de 780 chevaux à 6 300 tr/mn pour un couple de 920 Nm.
De quoi sur le papier revendiquer des performances de tout premier plan comme un 0 à 100 km/h abattu en 2,9 s et plus de 350 km/h en vitesse de pointe.
Le châssis reprend divers éléments comme kevlar, titane et fibre de carbone afin de lui conférer un rapport présenté comme idéal dans une recherche de compromis entre légèreté et rigidité. Voilà sur le papier.
Dans leurs ambitions affichées, les géniteurs de la Spano tablent sur une production de 99 pièces. Le prix demandé n'est pas encore clairement connu avec une fourchette terriblement dispendieuse puisqu'on évoque un ticket d'entrée oscillant entre 600 000 euros et 700 000 euros. L'ibère est rude. Trop.
A lire également. Salon de Genève 2011 : GTA Spano.
Source : GTA.
Jusqu'ici on la connaissait dans sa livrée d'un blanc immaculé. La revoici en Suisse toute de rouge habillée. Coup de peinture ou hypothétique deuxième unité de pré-production ? Mystère et boule de gomme. Tout comme du reste l'avenir concret de cette supersportive ibérique à court terme.
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