On ne chôme pas au département communication de Peugeot. Il faut bien pour ça pour combler les errements du service marketing, qui a présidé à l'élaboration de la 1007. Celle-ci, invendable ou presque, encombre les parcs de Peugeot, qui désespère de s'en débarasser. Alors, après la vente privée sur internet, le constructeur a trouvé un nouveau moyen de faire parler de sa 1007, sans se ruiner en pub. Comment? Par le biais de l'autopartage, en partenariat avec Vinci Park et Avis, à Paris. Dès juin prochain, moyennant un abonnement modique, on pourra réserver une 1007 pour une durée déterminée quand on le souhaite, en n'ayant par la suite à payer que l'essence, ou les péages. Une sorte de time-sharing appliqué à l'automobile. 20 1007 1.4 HDi seront utilisées dans ce cadre. Cela ne coûtera rien à Peugeot, et offrera une petite pub à sa citadine boudée. Mais si celle-ci ne rencontre pas le succès, est-ce dû à un manque de notoriété ou au fait que personne n'a envie d'une auto chère, poussive, peu pratique et étriquée?
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On ne chôme pas au département communication de Peugeot. Il faut bien pour ça pour combler les errements du service marketing, qui a présidé à l'élaboration de la 1007. Celle-ci, invendable ou presque, encombre les parcs de Peugeot, qui désespère de s'en débarasser. Alors, après la vente privée sur internet, le constructeur a trouvé un nouveau moyen de faire parler de sa 1007, sans se ruiner en pub. Comment? Par le biais de l'autopartage, en partenariat avec Vinci Park et Avis, à Paris. Dès juin prochain, moyennant un abonnement modique, on pourra réserver une 1007 pour une durée déterminée quand on le souhaite, en n'ayant par la suite à payer que l'essence, ou les péages. Une sorte de time-sharing appliqué à l'automobile. 20 1007 1.4 HDi seront utilisées dans ce cadre. Cela ne coûtera rien à Peugeot, et offrera une petite pub à sa citadine boudée. Mais si celle-ci ne rencontre pas le succès, est-ce dû à un manque de notoriété ou au fait que personne n'a envie d'une auto chère, poussive, peu pratique et étriquée?
On ne chôme pas au département communication de Peugeot. Il faut bien pour ça pour combler les errements du service marketing, qui a présidé à l'élaboration de la 1007. Celle-ci, invendable ou presque, encombre les parcs de Peugeot, qui désespère de s'en débarasser. Alors, après la vente privée sur internet, le constructeur a trouvé un nouveau moyen de faire parler de sa 1007, sans se ruiner en pub. Comment? Par le biais de l'autopartage, en partenariat avec Vinci Park et Avis, à Paris. Dès juin prochain, moyennant un abonnement modique, on pourra réserver une 1007 pour une durée déterminée quand on le souhaite, en n'ayant par la suite à payer que l'essence, ou les péages. Une sorte de time-sharing appliqué à l'automobile. 20 1007 1.4 HDi seront utilisées dans ce cadre. Cela ne coûtera rien à Peugeot, et offrera une petite pub à sa citadine boudée. Mais si celle-ci ne rencontre pas le succès, est-ce dû à un manque de notoriété ou au fait que personne n'a envie d'une auto chère, poussive, peu pratique et étriquée?
