L'équipementier automobile Faurecia, filiale de PSA, défraie la chronique depuis quelques temps pour une affaire de corruption. Bernd Pichetstrieder, PDG du groupe VW remis de la pression dans le circuit en menaçant de cesser toute collaboration avec le Français, sur lequel la justice allemande se fait de plus en plus pressante. Pierre Lévi a donc décidé de jeter l'éponge et a présenté sa démission mercredi dernier. "J'ai agi pour préserver au mieux les intérêts de la société" déclare-t-il, "ma décision est fonction de l'évolution des enquêtes menées actuellement en Allemagne". Un coup dur pour la marque, déjà très déficitaire. Plusieurs constructeur seraient impliqués, dont VW, Audi, BMW et plus récemment Seat. Pierre Lévi est remplacé par Jean-Claude Hanus, président du conseil d'administration, et Frank Imbert, directeur financier.
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L'équipementier automobile Faurecia, filiale de PSA, défraie la chronique depuis quelques temps pour une affaire de corruption. Bernd Pichetstrieder, PDG du groupe VW remis de la pression dans le circuit en menaçant de cesser toute collaboration avec le Français, sur lequel la justice allemande se fait de plus en plus pressante. Pierre Lévi a donc décidé de jeter l'éponge et a présenté sa démission mercredi dernier. "J'ai agi pour préserver au mieux les intérêts de la société" déclare-t-il, "ma décision est fonction de l'évolution des enquêtes menées actuellement en Allemagne". Un coup dur pour la marque, déjà très déficitaire. Plusieurs constructeur seraient impliqués, dont VW, Audi, BMW et plus récemment Seat. Pierre Lévi est remplacé par Jean-Claude Hanus, président du conseil d'administration, et Frank Imbert, directeur financier.
L'équipementier automobile Faurecia, filiale de PSA, défraie la chronique depuis quelques temps pour une affaire de corruption. Bernd Pichetstrieder, PDG du groupe VW remis de la pression dans le circuit en menaçant de cesser toute collaboration avec le Français, sur lequel la justice allemande se fait de plus en plus pressante. Pierre Lévi a donc décidé de jeter l'éponge et a présenté sa démission mercredi dernier. "J'ai agi pour préserver au mieux les intérêts de la société" déclare-t-il, "ma décision est fonction de l'évolution des enquêtes menées actuellement en Allemagne". Un coup dur pour la marque, déjà très déficitaire. Plusieurs constructeur seraient impliqués, dont VW, Audi, BMW et plus récemment Seat. Pierre Lévi est remplacé par Jean-Claude Hanus, président du conseil d'administration, et Frank Imbert, directeur financier.