Peugeot RCZ : sortie de route
Cette annonce constitue-t-elle réellement une grande surprise ? Pas vraiment si on se rappelle quelques déclarations précédentes. Mais cette fois, Maxime Picat, le patron de Peugeot, s'accorde avec Carlos Tavarès.
Cette annonce constitue-t-elle réellement une grande surprise ? Pas vraiment si on se rappelle quelques déclarations précédentes. Mais cette fois, Maxime Picat, le patron de Peugeot, s'accorde avec Carlos Tavarès.
Cette annonce constitue-t-elle réellement une grande surprise ? Pas vraiment si on se rappelle quelques déclarations précédentes. Mais cette fois, Maxime Picat, le patron de Peugeot, s'accorde avec Carlos Tavarès.
Au début de l'été dernier, Maxime Picat, le directeur de la marque Peugeot, confirmait un héritier au coupé Peugeot RCZ. Quelques semaines plus tard Carlos Tavarès reprenait la main.
Et là assez clairement, souvenez-vous, le grand patron abordait le cas des autos à vocation et ambition sportive au sein du groupe PSA Peugeot Citroën. "Le RCZ a encore un petit peu de temps devant lui", déclarait alors le grand patron de PSA Peugeot Citroën.
A l'occasion de l'actuel salon de Shanghai, Maxime Picat s'est de nouveau exprimé quant à l'avenir du coupé RCZ, des propos relayés dans les colonnes d'un média britannique. Et ? Et bien la sortie de route du coupé franc-comtois est (de nouveau) confirmée. Le modèle de niche et d'image n'aura pas de remplaçant, un coupé Peugeot RCZ initialement introduit en 2009 puis restylé.
"J'aime le RCZ, mais je veux que nous nous concentrions pour tirer le meilleur de nos modèles de base, de la 108 aux modèles plus haut dans la gamme, afin de les exploiter du mieux possible. Les marchés de niche sont réservés aux constructeurs premium. Pour nous cela aura été une distraction", a indiqué Maxime Picat.
Rappelons que dans le cadre du programme Back in Race une douzaine de modèles ne sera pas renouvelée. Le coupé RCZ sera de ceux là.
Source : Autocar.
Crédit illustration : Peugeot.
Cette annonce constitue-t-elle réellement une grande surprise ? Pas vraiment si on se rappelle quelques déclarations précédentes. Mais cette fois, Maxime Picat, le patron de Peugeot, s'accorde avec Carlos Tavarès.
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