Kocaeli en Turquie, Craiova en Roumanie, Almussafes en Espagne, Tychy en Pologne, Genk en Belgique, Cologne ou Saarlouis en Allemagne, Dagenham ou Halewood outre-Manche, etc : entre sites de production et d'assemblage de modèles ou de moteurs (en solo ou non, co-entreprise), depuis la publication de son bilan financier, Ford traverse une grave crise sur le vieux continent quand on sait, notamment, que ses ventes auront reculé de 19 % au premier semestre. Malgré les difficultés économiques, l'incertitude pesant sur le marché européen Ford n'entend pas fermer de sites...Comme on avait pu le lire dans le dernier bilan financier de la marque, la situation de Ford n'est pas très heureuse sur le vieux continent. Si à ce moment là, le directeur général Alan Mulally avait pointé "un problème structurel et non cyclique" suivant la déclaration du directeur financier Bob Shanks évoquant "évaluer la situation de Ford en Europe avec une grave urgence", la tendance actuelle veut que Ford ne sacrifiera aucun site.
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Kocaeli en Turquie, Craiova en Roumanie, Almussafes en Espagne, Tychy en Pologne, Genk en Belgique, Cologne ou Saarlouis en Allemagne, Dagenham ou Halewood outre-Manche, etc : entre sites de production et d'assemblage de modèles ou de moteurs (en solo ou non, co-entreprise), Ford en Europe représente un volume de quelques 66 000 salariés. On le sait depuis la publication de son bilan financier, Ford traverse une grave crise sur le vieux continent quand on sait, notamment, que ses ventes auront reculé de 19 % au premier semestre. Malgré les difficultés économiques, l'incertitude pesant sur le marché européen Ford n'entend pas fermer de sites...Comme on avait pu le lire dans le dernier bilan financier de la marque, la situation de Ford n'est pas très heureuse sur le vieux continent. Si à ce moment là, le directeur général Alan Mulally avait pointé "un problème structurel et non cyclique" suivant la déclaration du directeur financier Bob Shanks évoquant "évaluer la situation de Ford en Europe avec une grave urgence", la tendance actuelle veut que Ford ne sacrifiera aucun site.
"Il existe plusieurs solutions pour lutter contre la surproduction sans devoir fermer une usine", s'est ainsi exprimé John Fleming, ancien CEO de Ford Europe entre 2005 et 2009. Plus concrètement ? Aucune donnée. On sait juste que des solutions alternatives devraient très rapidement être dévoilées. La voilure risque bien d'être réduite. Des plans sociaux déjà dans les cartons ? Oui, certitude, et c'est Alan Mulally qui l'a indiqué : une option concrète sera de "diminuer la production" dans le souci de la faire coïncider avec le "niveau de la demande réelle". Les prochaines semaines permettront d'en apprendre davantage.
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Kocaeli en Turquie, Craiova en Roumanie, Almussafes en Espagne, Tychy en Pologne, Genk en Belgique, Cologne ou Saarlouis en Allemagne, Dagenham ou Halewood outre-Manche, etc : entre sites de production et d'assemblage de modèles ou de moteurs (en solo ou non, co-entreprise), depuis la publication de son bilan financier, Ford traverse une grave crise sur le vieux continent quand on sait, notamment, que ses ventes auront reculé de 19 % au premier semestre. Malgré les difficultés économiques, l'incertitude pesant sur le marché européen Ford n'entend pas fermer de sites...Comme on avait pu le lire dans le dernier bilan financier de la marque, la situation de Ford n'est pas très heureuse sur le vieux continent. Si à ce moment là, le directeur général Alan Mulally avait pointé "un problème structurel et non cyclique" suivant la déclaration du directeur financier Bob Shanks évoquant "évaluer la situation de Ford en Europe avec une grave urgence", la tendance actuelle veut que Ford ne sacrifiera aucun site.
