La direction d'Opel a tenu à apporter quelques rectifications aux propos relatés il y a peu dans les médias concernant son plan de restructuration. Les suppressions d'emplois prévues s'établissaient à l'origine à 9500. Un dirigeant d'Opel a voulu préciser les modalités de ce plan au Financial Times Deutschland. Le journal croyait alors à une "tendance baissière" du nombre de postes supprimés qui ne devaient plus dépasser les 8000. Fausse demi-joie pour les employés puisque un porte parole est venu prestement rectifier les propos de son confrère en précisant que le plan prévoyait toujours 9500 suppressions. Mais, subtilité du procédé, il se trouve que 1500 de ces emplois supprimés seront en fait reclassés chez les "sociétés partenaires ou co-entreprises" du constructeur, filiale de General Motors.
Zapping Le Blogauto Essai Peugeot 408 Hybrid 225
La direction d'Opel a tenu à apporter quelques rectifications aux propos relatés il y a peu dans les médias concernant son plan de restructuration. Les suppressions d'emplois prévues s'établissaient à l'origine à 9500. Un dirigeant d'Opel a voulu préciser les modalités de ce plan au Financial Times Deutschland. Le journal croyait alors à une "tendance baissière" du nombre de postes supprimés qui ne devaient plus dépasser les 8000. Fausse demi-joie pour les employés puisque un porte parole est venu prestement rectifier les propos de son confrère en précisant que le plan prévoyait toujours 9500 suppressions. Mais, subtilité du procédé, il se trouve que 1500 de ces emplois supprimés seront en fait reclassés chez les "sociétés partenaires ou co-entreprises" du constructeur, filiale de General Motors.
Pour Opel, "l'économie en coûts humains" s'établit toujours à 9500 emplois. Désarmant d'inhumanité ...
La direction d'Opel a tenu à apporter quelques rectifications aux propos relatés il y a peu dans les médias concernant son plan de restructuration. Les suppressions d'emplois prévues s'établissaient à l'origine à 9500. Un dirigeant d'Opel a voulu préciser les modalités de ce plan au Financial Times Deutschland. Le journal croyait alors à une "tendance baissière" du nombre de postes supprimés qui ne devaient plus dépasser les 8000. Fausse demi-joie pour les employés puisque un porte parole est venu prestement rectifier les propos de son confrère en précisant que le plan prévoyait toujours 9500 suppressions. Mais, subtilité du procédé, il se trouve que 1500 de ces emplois supprimés seront en fait reclassés chez les "sociétés partenaires ou co-entreprises" du constructeur, filiale de General Motors.