Opel : le feuilleton continue...
Au fil des jours se succèdent Opel reste sous le contrôle d'une société fiduciaire financée par des crédits publics. Et le bal des prétendants se poursuit...
Au fil des jours se succèdent Opel reste sous le contrôle d'une société fiduciaire financée par des crédits publics. Et le bal des prétendants se poursuit...
Au fil des jours se succèdent nombre d'épisodes concernant la cession d'Opel par General Motors. Le constructeur américain et les autorités politiques allemandes (les plus impliquées à l'échelon européen) continuent de communiquer autour d'un point afin d'inciter les candidats au rachat à améliorer leur offre initiale : non Magna n'a pas encore officielment acquis le constructeur au Blitz. En attendant la finalisation d'un accord, Opel reste sous le contrôle d'une société fiduciaire financée par des crédits publics. Et le bal des prétendants se poursuit...
En résumé, General Motors et le gouvernement allemand espèreent bien faire grimper les enchères tout en garantissant aux salariés des complexes industriels la coupe sociale la moins forte possible. Le président du conseil de la société fiduciaire gérant Opel a ainsi déclaré que toutes les offres étaient les bienvenues. "Tous les intéressés doivent pouvoir consulter le dossier et disposer des mêmes informations", s'est ainsi exprimé Fred Irwin.
Évidemment il a également tenu à rappeler de nouveau que la lettre d'intention signée par Magna et ses partenaires russes ne revêtait aucun caractère officiel. Une précision faisant suite aux diverses déclarations similaires signées des responsables politiques allemands...
Parmi les candidats qui s'étaient déjà déclarés, deux d'entre eux sont donc revenus aux affaires. Le constructeur chinois BAIC doit cette semaine dépêcher une délégation pour consulter le dossier, examiner les comptes et rencontrer des représentants d'Opel.
Le fonds d'investissements financiers Ripplewood, via sa holding RHJ International, en fera de même cette semaine également. Fiat au contraire reste silencieux. Alors qui offrira à GM et le gouvernement allemand le meilleur compromis pour racheter Opel ? Une certitude : on en reparlera...
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Source : Automotive News.
Au fil des jours se succèdent Opel reste sous le contrôle d'une société fiduciaire financée par des crédits publics. Et le bal des prétendants se poursuit...
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