Nous avons roulé dans la nouvelle Renault Mégane RS
Certes, nous étions ce week-end aux World Series by Renault pour le spectacle, mais pas que. En effet, Renault nous avait invités à goûter la nouvelle Mégane RS sur circuit.
Certes, nous étions ce week-end aux World Series by Renault pour le spectacle, mais pas que. En effet, Renault nous avait invités à goûter la nouvelle Mégane RS sur circuit.
Certes, nous étions ce week-end aux World Series by Renault pour le spectacle, mais pas que. En effet, Renault nous avait invités à goûter la nouvelle Mégane RS sur circuit.
Désolé si ce titre un brin racoleur vous a trompés… Nous n’avons pas pris le volant de la dernière sportive de Renault, simplement effectué des tours de circuit dans le baquet de droite. Dans celui de gauche : le responsable du développement châssis qui connaît parfaitement son bébé et ne lui a rien épargné.
Premier constat : le châssis est fidèle à la philosophie Renault Sport. A savoir qu’il est possible d’en faire ce qu’on en veut, que ce soit propre ou pas. La Mégane RS accepte n’importe quelle dérive, pour une remise en ligne dès qu’on le veut. Difficile de juger de l’efficacité quand on n’est pas derrière le volant (surtout quand le pilote passe son temps en dérive). Toutefois, la précision de la direction semble excellente. Le modèle rouge dans lequel j’ai tourné était équipé du châssis sport, un peu moins ferme que le châssis cup du modèle gris. Malgré ses suspensions relativement souple, la réactivité est bonne et le roulis très faible. Le confort semble plutôt bon au passage sur les vibreurs mais ce n’est pas sur ce genre de parcours qu’on peut juger en profondeur du ouaté de la Mégane.
Deuxième constat : le moteur. Les accélérations distillées semblent de bon aloi, bien suffisantes pour s’amuser. On n’a pas d’effet « coup de pied au cul turbo » et la puissance semble s’étaler bien plus haut dans les tours que sur la TCE 180. Pas plus mal au vu de la vocation de l’auto. Par contre, le bruit semble plutôt quelconque, très typé quatre cylindres. Bref, assez fade surtout comparé au grondement du cinq cylindres de la Focus RS.
Au final, il est difficile de se faire une opinion complète et tranchée avec ce genre de roulage. Toutefois, le châssis semble avoir le potentiel nécessaire pour faire de la nouvelle Mégane RS un modèle fort en agrément. Une première impression que nous ne manquerons pas de confirmer lors des premiers essais (derrière le cerceau cette fois), fin octobre.
Lire également :
Essai Ford Focus RS
Certes, nous étions ce week-end aux World Series by Renault pour le spectacle, mais pas que. En effet, Renault nous avait invités à goûter la nouvelle Mégane RS sur circuit.
Retrouvez tous les soirs une sélection d'articles dans votre boite mail.