Aux côtés de la nouvelle Charger qui change radicalement de face avant, la Challenger joue la continuité et continue à miser sur son héritage. Tout en relevant son niveau de performance.

Face à un duo Camaro / Mustang qui joue la carte de la modernité, la Dodge Challenger continue sur la voie de l'hommage à son illustre aînée. La version révisée à l'occasion du salon de New-York accentue ainsi ses références. Les interventions chirurgicales touchent le visage : grille, optiques avec feux de jour circulaires, bouclier; mais aussi l'arrière avec des feux évoquant le modèle 1971.

Le style extérieur se bonifie, mais l'intérieur aussi. Un style modernisé qui perd en identité ce qu'il gagne en perception de qualité. Mais les évocations du passé sont aussi légion : dessin de la console centrale ou du levier de vitesse par exemple. Un levier qui prendra deux formes bien distinctes selon que l'on ait choisi la boîte manuelle 6 rapports ou la nouvelle automatique 8 rapports, renommée Torqueflite pour l'occasion. L'intérieur pourra s'habiller de 14 teintes différentes.

Une boîte Torqueflite livrée en série sur le V6 3,6l Pentastar, développant à présent 305 ch. Elle est en revanche en option sur la version R/T (V8 5,7l HEMI 375 ch) ou sur le V8 6,4l (485 ch), également disponibles avec la boîte manuelle 6 rapports. Le V8 5,7l est proposé en option avec sa boîte à air visible, le fameux Shaker. Quant au 6,4l, il reçoit en standard ce même équipement, ce qui lui vaut d'être nommée 6,4l Scat Pack. On notera qu'elle n'appartient pas à la famille SRT. Pour cela, il faudra sans doute attendre la très attendue Hellcat...

Source : Dodge