Selon le Financial Times, PricewaterhouseCoopers (PWC) a confirmé hier que SAIC (Shanghai Automotive Industries Corporation) n'avait plus l'intention d'acquérir la totalité ou même une partie de MG Rover. SAIC a évalué les coûts d'une telle reprise, comprenant entre autres un nombre important de licenciements économiques et de retraites à payer, le montant est finalement trop élevé. La sentence ne sait donc pas fait attendre, les lettres de licenciement sont en route vers 6100 employés de MG Rover, l'usine centenaire quant à elle sera re-développée par son propriétaire. On peut imaginer que MG Rover reproduira des voitures dans l'avenir vu la valeur de la marque, mais une chose semble certaine, ce ne sera pas à partir de l'Angleterre qui vient d'enterrer son dernier constructeur automobile et une partie de son héritage automobile.
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Selon le Financial Times, PricewaterhouseCoopers (PWC) a confirmé hier que SAIC (Shanghai Automotive Industries Corporation) n'avait plus l'intention d'acquérir la totalité ou même une partie de MG Rover. SAIC a évalué les coûts d'une telle reprise, comprenant entre autres un nombre important de licenciements économiques et de retraites à payer, le montant est finalement trop élevé. La sentence ne sait donc pas fait attendre, les lettres de licenciement sont en route vers 6100 employés de MG Rover, l'usine centenaire quant à elle sera re-développée par son propriétaire. On peut imaginer que MG Rover reproduira des voitures dans l'avenir vu la valeur de la marque, mais une chose semble certaine, ce ne sera pas à partir de l'Angleterre qui vient d'enterrer son dernier constructeur automobile et une partie de son héritage automobile.
Selon le Financial Times, PricewaterhouseCoopers (PWC) a confirmé hier que SAIC (Shanghai Automotive Industries Corporation) n'avait plus l'intention d'acquérir la totalité ou même une partie de MG Rover. SAIC a évalué les coûts d'une telle reprise, comprenant entre autres un nombre important de licenciements économiques et de retraites à payer, le montant est finalement trop élevé. La sentence ne sait donc pas fait attendre, les lettres de licenciement sont en route vers 6100 employés de MG Rover, l'usine centenaire quant à elle sera re-développée par son propriétaire. On peut imaginer que MG Rover reproduira des voitures dans l'avenir vu la valeur de la marque, mais une chose semble certaine, ce ne sera pas à partir de l'Angleterre qui vient d'enterrer son dernier constructeur automobile et une partie de son héritage automobile.