Lotus prépare enfin une nouvelle Elise
Avec un bénéfice pour la première fois en quarante ans, le constructeur britannique a enfin la possibilité de s’atteler au remplacement de sa gamme vieillissante.
Avec un bénéfice pour la première fois en quarante ans, le constructeur britannique a enfin la possibilité de s’atteler au remplacement de sa gamme vieillissante.
À la différence de Dany Bahar, Jean-Marc Gales, PDG de Lotus, a la tête sur les épaules et ce n’est pas à une déferlante de nouveaux modèles aussi improbables les uns que les autres auxquels il faut s’attendre. Lotus s’attachera dans un premier temps à remplacer l’Elise qui fête cette année ses 20 ans de carrière.
Cette future Elise restera fidèle à l’aluminium et Jean Marc Gales a confirmé que le prochain opus conservera des dimensions très proches de l’actuelle génération et pèsera moins de 1000 kg. À l’instar de l’Evora qui a été lancée sur le marché américain cet été, l’Elise sera conçue pour satisfaire les normes de crash test en vigueur outre-Atlantique. Une fois l’Elise lancée, l’Exige suivra quelques mois plus tard tandis que l’Evora attendra 2022 pour être renouvelée.
En attendant cette nouvelle fournée, Lotus prépare une version découvrable de l’Evora qui, selon les propos du PDG de la marque, sera démarquera visuellement du coupé.
Avec ce plan produit entériné, Lotus prévoit de vendre 2 000 voitures en 2017, 2 500 en 2018 et 4 000 après le lancement de la nouvelle Elise. Avec un retour aux bénéfices, on peut comprendre la confiance de Jean-Marc Gales et espérons que les déboires de la maison-mère, le constructeur malaisien Proton, ne viennent pas entraver ces beaux projets.
Source : Autocar
Source photo : Lotus
Avec un bénéfice pour la première fois en quarante ans, le constructeur britannique a enfin la possibilité de s’atteler au remplacement de sa gamme vieillissante.
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