Si on peut raisonnablement arguer que les Lexus IS et GS ont leurs références de l'autre côté du Rhin, la nouvelle ES, comme ses quatres générations aînées, prend les siennes de l'autre côté de l'Atlantique, où elle est conçue et vendue avec succès. Et son arrivée quelques semaines après la Toyota Camry n'est pas un hasard de calendrier puisque l'ES partage la plateforme de cette dernière. L'ES, dont Lexus nous dit que son style répond aux canons de la doctrine L-Finesse en application sur le reste de la gamme, est donc une Camry pour les gens qui trouvent cette dernière trop commune, mais qui n'ont pas les moyens, ou l'envie, de faire le grand saut vers la cadre sup-mobile Lexus GS.
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Si on peut raisonnablement arguer que les Lexus IS et GS ont leurs références de l'autre côté du Rhin, la nouvelle ES, comme ses quatres générations aînées, prend les siennes de l'autre côté de l'Atlantique, où elle est conçue et vendue avec succès. Et son arrivée quelques semaines après la Toyota Camry n'est pas un hasard de calendrier puisque l'ES partage la plateforme de cette dernière. L'ES, dont Lexus nous dit que son style répond aux canons de la doctrine L-Finesse en application sur le reste de la gamme, est donc une Camry pour les gens qui trouvent cette dernière trop commune, mais qui n'ont pas les moyens, ou l'envie, de faire le grand saut vers la cadre sup-mobile Lexus GS.
Mais non, dit Lexus, tout est différent, aucun rapport avec la Toyota C. Le moteur est un V6 3,5l de 272 chevaux et 344 Nm de couple, alors que la Camry n'a que 268 ch. Rien à voir ! Et en plus les sièges avants électriques sont réglables selon dix paramètres. La marque d'une vraie voiture de haut de gamme. Soyons honnêtes, en plus d'un style extérieur différent, l'intérieur respire une qualité supérieure à celui de la Toyota, pourtant déjà très correct.
Les nouveautés de cette nouvelle génération incluent entre autres un toit panoramique, un système d'entrée et de démarrage "clé en poche", 10 airbags dont le nouveau "twin chamber", technologie exclusive Toyota, et un éclairage avant directionnel. Le prix n'est pas avancé, mais ne devrait pas changer brutalement des 32.000 dollars US de l'actuelle ES 330. Il est également probable qu'on verra l'ES faire le voyage vers l'Asie, soit sous la marque Lexus, soit comme c'était le cas pour les précédentes ES sous l'identité Toyota Windom. Fort peu de chances par contre de la voir en Europe.
Si on peut raisonnablement arguer que les Lexus IS et GS ont leurs références de l'autre côté du Rhin, la nouvelle ES, comme ses quatres générations aînées, prend les siennes de l'autre côté de l'Atlantique, où elle est conçue et vendue avec succès. Et son arrivée quelques semaines après la Toyota Camry n'est pas un hasard de calendrier puisque l'ES partage la plateforme de cette dernière. L'ES, dont Lexus nous dit que son style répond aux canons de la doctrine L-Finesse en application sur le reste de la gamme, est donc une Camry pour les gens qui trouvent cette dernière trop commune, mais qui n'ont pas les moyens, ou l'envie, de faire le grand saut vers la cadre sup-mobile Lexus GS.
