L'empire (britannique) contre-attaque : Aston Martin en Europe ?
Plus Anglais qu'Aston, c'est difficile à imaginer. On se représente les employés arrivant le matin en bus à impériale ou en Vauxhall, les chaînes qui s'arrêtent pour le thé, les "bloody hell" quand on se donne un coup de clé sur les doigts et les affichettes pour le voyage annuel du comité d'entreprise aux Vingt Quatre heures du Mans. Du coup, l'article du Financial Times d'aujourd'hui va certainement faire causer dans les pubs puisque le journal londonien affirme qu'Aston Martin se prépare, pour la première fois de sa longue histoire, à produire, ou plutôt faire produire, des voitures frappées du badge à ailettes sur le sol de l'Europe continentale, autrement dit chez les barbares.
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Un certain nombre d'entreprises spécialisées dans ce type de prestation auraient été contactées, de Pininfarina à Magna en passant par les Finlandais de Valmet, et le modèle concerné est la Rapide. Selon le Financial Times, le succès actuel d'Aston fait tourner les chaînes de Gaydon à la limite de leur capacité pour répondre à la demande des différentes déclinaisons de la V8 Vantage et de la DB9, et l'ajout d'un modèle supplémentaire entraînerait des problèmes insurmontables.
Une Aston produite chez Pininfarina, voilà qui vaudrait son poids de Worcester sauce...
Plus Anglais qu'Aston, c'est difficile à imaginer. On se représente les employés arrivant le matin en bus à impériale ou en Vauxhall, les chaînes qui s'arrêtent pour le thé, les "bloody hell" quand on se donne un coup de clé sur les doigts et les affichettes pour le voyage annuel du comité d'entreprise aux Vingt Quatre heures du Mans. Du coup, l'article du Financial Times d'aujourd'hui va certainement faire causer dans les pubs puisque le journal londonien affirme qu'Aston Martin se prépare, pour la première fois de sa longue histoire, à produire, ou plutôt faire produire, des voitures frappées du badge à ailettes sur le sol de l'Europe continentale, autrement dit chez les barbares.