L'arsenal des éthylotests vient de s'enrichir d'une nouvelle arme. Un inventeur américain a obtenu un brevet pour un volant qui peut tester le degré d'imbibation du conducteur via le contact de la peau. Monsieur Dennis Bellehumeur a passé 12 ans à mettre au point la chose, motivé par l'accident qui a laissé son fils avec des dommages au cerveau alors que ce dernier conduisait après avoir trop bu. L'application principale envisagée est bien sûr d'empêcher le véhicule de démarrer si le conducteur a un taux d'alcoolémie élevé. Le coût du dispositif est actuellement de 600 dollars, mais il est probable qu'il pourrait baisser si les constructeurs s'emparent de la nouveauté. Ce qui est loin d'être sûr, tant la chose paraît difficile à mettre en avant: "la voiture idéale pour nous les alcooliques". Pas très vendeur. On pourrait imaginer aussi un gros nez rouge sur la calandre qui s'allumerait en cas de pochetronage avancé. Plus sérieusement, il faudrait rendre ce dispositif obligatoire, c'est un élément de sécurité au même titre que les ceintures de sécurité, ou les airbags. Précisons que le volant sur l'image n'a rien a voir avec l'appareil en question, ce qui ne nous empêchera pas de vouloir le même.
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L'arsenal des éthylotests vient de s'enrichir d'une nouvelle arme. Un inventeur américain a obtenu un brevet pour un volant qui peut tester le degré d'imbibation du conducteur via le contact de la peau. Monsieur Dennis Bellehumeur a passé 12 ans à mettre au point la chose, motivé par l'accident qui a laissé son fils avec des dommages au cerveau alors que ce dernier conduisait après avoir trop bu. L'application principale envisagée est bien sûr d'empêcher le véhicule de démarrer si le conducteur a un taux d'alcoolémie élevé. Le coût du dispositif est actuellement de 600 dollars, mais il est probable qu'il pourrait baisser si les constructeurs s'emparent de la nouveauté. Ce qui est loin d'être sûr, tant la chose paraît difficile à mettre en avant: "la voiture idéale pour nous les alcooliques". Pas très vendeur. On pourrait imaginer aussi un gros nez rouge sur la calandre qui s'allumerait en cas de pochetronage avancé. Plus sérieusement, il faudrait rendre ce dispositif obligatoire, c'est un élément de sécurité au même titre que les ceintures de sécurité, ou les airbags. Précisons que le volant sur l'image n'a rien a voir avec l'appareil en question, ce qui ne nous empêchera pas de vouloir le même.
L'arsenal des éthylotests vient de s'enrichir d'une nouvelle arme. Un inventeur américain a obtenu un brevet pour un volant qui peut tester le degré d'imbibation du conducteur via le contact de la peau. Monsieur Dennis Bellehumeur a passé 12 ans à mettre au point la chose, motivé par l'accident qui a laissé son fils avec des dommages au cerveau alors que ce dernier conduisait après avoir trop bu. L'application principale envisagée est bien sûr d'empêcher le véhicule de démarrer si le conducteur a un taux d'alcoolémie élevé. Le coût du dispositif est actuellement de 600 dollars, mais il est probable qu'il pourrait baisser si les constructeurs s'emparent de la nouveauté. Ce qui est loin d'être sûr, tant la chose paraît difficile à mettre en avant: "la voiture idéale pour nous les alcooliques". Pas très vendeur. On pourrait imaginer aussi un gros nez rouge sur la calandre qui s'allumerait en cas de pochetronage avancé. Plus sérieusement, il faudrait rendre ce dispositif obligatoire, c'est un élément de sécurité au même titre que les ceintures de sécurité, ou les airbags. Précisons que le volant sur l'image n'a rien a voir avec l'appareil en question, ce qui ne nous empêchera pas de vouloir le même.