Imaginez Carlos Ghosn ou Jean-Martin Foltz montant dans le fourgon entre deux policiers en direct au vingt heures. Ce serait l'équivalent de ce qui vient de se passer à Séoul où Chung Mong Koo, le PDG de Hyundai Motor Company, vient d'être arrêté de crainte qu'il ne s'évanouisse dans la nature, accusé de corruption et d'abus de confiance à hauteur de 315 millions de dollars. Une affaire qui est sous la loupe des enquêteurs sud-coréens depuis un mois, et qui met en cause outre monsieur Chung son fils Chung Eui Sun, président de Kia.
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Imaginez Carlos Ghosn ou Jean-Martin Foltz montant dans le fourgon entre deux policiers en direct au vingt heures. Ce serait l'équivalent de ce qui vient de se passer à Séoul où Chung Mong Koo, le PDG de Hyundai Motor Company, vient d'être arrêté de crainte qu'il ne s'évanouisse dans la nature, accusé de corruption et d'abus de confiance à hauteur de 315 millions de dollars. Une affaire qui est sous la loupe des enquêteurs sud-coréens depuis un mois, et qui met en cause outre monsieur Chung son fils Chung Eui Sun, président de Kia.
C'est un sacré choc dans un pays où de telles affaires sont pourtant légion, héritées des mauvaises habitudes en vigueur à l'intérieur des Chaebols, les grands conglomérats qui dominent l'industrie coréenne. Samsung à fait l'objet d'une enquête similaire l'année dernière. Le porte-parole de Hyundai affirme que c'est business as usual chez le constructeur, mais on aurait pu trouver mieux pour motiver les employés de Hyundai et Kia, qui sont en pleine ascension dans l'industrie automobile mondiale, Hyundai tenant actuellement le septième rang dans la hiérarchie des constructeurs à l'échelle de la planète.
Imaginez Carlos Ghosn ou Jean-Martin Foltz montant dans le fourgon entre deux policiers en direct au vingt heures. Ce serait l'équivalent de ce qui vient de se passer à Séoul où Chung Mong Koo, le PDG de Hyundai Motor Company, vient d'être arrêté de crainte qu'il ne s'évanouisse dans la nature, accusé de corruption et d'abus de confiance à hauteur de 315 millions de dollars. Une affaire qui est sous la loupe des enquêteurs sud-coréens depuis un mois, et qui met en cause outre monsieur Chung son fils Chung Eui Sun, président de Kia.