La Mazda MX-5 avait jusque là résisté au traitement de choc Mazda Performance Series appliqué par Mazda à la 6 puis la 3 sous les vivats d'amateurs dont les chevaux nombreux du moteur 2,3l turbo zoom zoom font briller les yeux. Jusqu'à présent, le roadster se drapait dans un souci d'homogénéité, une démarche pure et dure louable qui veut que les 160 chevaux du 2 litres atmosphérique soient largement suffisants pour emmener le conducteur, qu'écris-je, le pilote, le cavalier, au nirvana du roadster sportif.
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La Mazda MX-5 avait jusque là résisté au traitement de choc Mazda Performance Series appliqué par Mazda à la 6 puis la 3 sous les vivats d'amateurs dont les chevaux nombreux du moteur 2,3l turbo zoom zoom font briller les yeux. Jusqu'à présent, le roadster se drapait dans un souci d'homogénéité, une démarche pure et dure louable qui veut que les 160 chevaux du 2 litres atmosphérique soient largement suffisants pour emmener le conducteur, qu'écris-je, le pilote, le cavalier, au nirvana du roadster sportif.
Mais voilà. Le terrain de jeu de la MX-5 s'est peu à peu peuplé de concurrentes avec une approche de la chose plus terre à terre, les Pontiac Solstice GXP et Opel GT en tête. qui font de l'ombre à l'esthète japonaise à grands coups de chevaux turbocompressés surnuméraires: 260 chevaux, et que ça fume! Alors il va falloir faire quelque chose, et Autocar rapporte une rumeur qui voudrait qu'une version musclée MPS de la MX-5 de plus de 250 ch soit en préparation. La manip la plus évidente serait bien sûr de mettre sous le capot le 2,3l turbo qui crache le feu dans le reste de la gamme, mais il semble qu'il y serait un peu à l'étroit. Une solution de rechange pourrait être de greffer un turbo sur le moteur actuel. Un montage déjà expérimenté par le passé au Japon.
La super Mazda MX-5, si tant est qu'elle existe, pourrait être une façon de faire amende honorable auprès des puristes qui seront déprimés par l'arrivée de la voiture à toiture. Dans tous les cas, une MX-5 de 250 chevaux, il va falloir arrimer plus fermement les postiches...
La photo représente le concept Mazdaspeed Roaster exposé au Tokyo Auto Salon 2006. A priori, pas de rapport, mais elle porterait beau les 250 chevaux, celle-là, non ?
La Mazda MX-5 avait jusque là résisté au traitement de choc Mazda Performance Series appliqué par Mazda à la 6 puis la 3 sous les vivats d'amateurs dont les chevaux nombreux du moteur 2,3l turbo zoom zoom font briller les yeux. Jusqu'à présent, le roadster se drapait dans un souci d'homogénéité, une démarche pure et dure louable qui veut que les 160 chevaux du 2 litres atmosphérique soient largement suffisants pour emmener le conducteur, qu'écris-je, le pilote, le cavalier, au nirvana du roadster sportif.
